Au lendemain de l'incident aux portes du sanctuaire, le Cercle prend la décision d'enquêter de nuit dans le marais. Mère Anelaïce se dénude afin de se transformer en louve et servir de guide à ses camarades.
Très vite, la brume se forme et le groupe perd de vu la louve blanche. Mais un autre loup leur apparaît, surnommé "Rudolph" par Hildeborg.
Ce Rudolph sert alors de guide aux Larmes et les amènent profondément dans le marais. Mais le pas pressé de la nordique finit par diviser une nouvelle fois le groupe... Llevana et Althaëa se retrouvent seule avec leur bulle de lumière comme unique guide.
De son côté, Hildeborg trouve une meute de loup festoyant d'une nouvelle victime bosmer. Elle remarque également une silhouette bipède qui s'éloigne à son approche.
Les dunmers Llevana et Althaëa croisent une louve blanche qui tente de les retenir mais elles l'ignorent. Elles font finalement face à la brume vorace et dangereuse... Des lycanthropes éthérés choisissent ce moment pour les attaquer.
Le combat est perdu d'avance. Les Larmes encaissent et une simple barrière rocheuse temporaire de la dunmer alchimiste ne suffit pas. Elles prennent la fuite.
Le retour au sanctuaire est chaotique. Althaëa ne doit sa survie qu'à son armure.
Anelaïce de son côté ne sera rentrée qu'au lendemain. Reprenant ses affaires et prenant du repos après une nuit éprouvante.
Gaea peine à comprendre ce qu'ont vécu ses camarades. Pour elle, elles se sont aventurées de nuit, rencontrant un Rudolph, se dispersant ensuite avant de rentrer devant une Anelaïce nue. La confusion dans son regard est assez évidente.
Sur le conseil d'Anelaïce, le Cercle décide de rencontrer l'ancienne du village à la sortie du marais pour tenter d'apprendre le problème à l'origine de la brume vorace, et ce à défaut de trouver la mère de la sorcière et Kas'.
L'ancienne Jaërilne semble avoir entendu parler à trois reprises du clan Ombrenuit dernièrement... Voilà qui est intéressant.
Si le Cercle savait déjà que la brume est la manifestation des anciens chasseurs du clan, ils apprennent que le premier loup de la meute était le grand-père de Kas'. Par ailleurs, la mère d'Ane et de Kas' était une parle-nature mais son rôle était incompatible avec sa liaison avec un loup de la meute, n'étant finalement pas en accord avec leur présence donc.
Pour dissiper cette brume, l'ancienne propose d'invoquer l'esprit d'Y'ffre bien que la dernière personne ayant tenté ce rituel n'y est pas parvenu. Ou de trouver l'origine du problème : à savoir un daedra plus ancien que les origines du clan.
Gaea ne le relève pas immédiatement mais elle soupçonne qu'il existe un lien entre les individus ayant dernièrement évoqué les Ombrenuits devant l'ancienne et ce mystérieux men qui avait autrefois un grand intérêt pour le clan avant le massacre. Ou peut-être n'y a t'il aucun rapport ?
Dans l'immédiat, un nouveau rituel divinatoire s'impose pour tenter de trouver des réponses... Un rituel qui emmène le groupe dans le marais des Ombrenuits, une centaine d'années en arrière.
Cette portion du marais est inconnu des membres du Cercle. Il y a pourtant un autel d'Hircine mais pas celui qu'ils connaissent.
En tout cas ce marais est vivant... des enfants bosmers accompagnés de leurs aînés s'y trouvent. Des cousines que reconnait Anelaïce.
Cet autel d'Hircine est parsemé d'offrandes. Une jeune elfe des bois, blonde aux yeux verts, porte un début de peinture rituel sur le visage.
Elsynia, qu'Anelaïce identifie spécifiquement, sort de l'arrière de l'autel rituel, lance à la main et snobant la jeune elfe blonde. Etrangement, Gaea distingue ensuite une ombre étrange derrière l'autel.
La mère de la jeune elfe blonde regarde l'autel puis... le groupe. Elle semble voir les membres du Cercle, pensant voir des esprits d'Y'ffre.
L'hésitation gagne le groupe. Le Cercle va t'il créer un paradoxe et changer le cour de l'Histoire ? A moins que ce soit le cour des événements ? Anelaïce ose répondre, exposant la situation.
Selon la femme du passé, Hircine a déjà pris nombre de membres du clan. Les offrandes servent à garder le contrôle mais la situation semble avoir déjà dérivée.
Anelaïce tente d'apprendre où se cache les bosmers lorsqu'ils ne sont pas auprès des ancêtres parle-nature mais cette question reste sans réponse... La vision s'estompe.
Les dernières recherches n'ont pas rencontré de succès. Et Anelaïce en vient à être exaspérée dans des proportions inattendues.
Cherchant la moindre réponse possible, l'altmer souffle sur une luciole de lumière en direction du marais, celle-ci étant attirée par les forces d'Oblivion. Une réponse viendra... ce n'est qu'une question de temps.
En attendant des nouvelles de la luciole, un nouvel objectif se dessine : visiter le marais de jour. Certaines propositions trouvent leur limites : se frayer un chemin de magie et de bénédictions contre les daedras finirait par épuisé les mages. Quant à pactiser avec un daedra pour ensuite le détruire, cela peut provoquer la mort du pactisant.
En sachant que la brume est une meute, Hildeborg et son expertise en terme de lycanthropes suggère de devenir les prédateurs pour influencer la meute. Une idée intéressante que l'altmer garde.
La luciole finit par atteindre son but... Soufflée par une force inconnue que la louve de Mère s'en trouve attisée.
Un nouveau jour se lève, mais un nouvel événement anormal survient : c'est le silence total. Aucun vent, aucun son, pas même de la faune ou de la flore. Est-ce annonciateur d'un sombre destin ?
Une luciole apparaît, attirant Gaea hors du sanctuaire.
Sitôt à l'extérieur, la nibenaise se prend une flèche à l'épaule.
Fort heureusement, Llevana arrive pour lui porter secours, se moquant des assaillants avant que le karma ne fasse son œuvre.
Les assaillants sont deux bosmers qui prétendent traquer les coupables de la mort d'un de leur frère... Mentionnant bien les Ombrenuits. La confusion est évidente.
La nuit commençant à tomber, Gaea invite les assaillants à quitter les marais sans plus tarder. Considérant qu'il s'agit surement d'un malentendu, elle reste prévenante.
Etrangement, la nuit effraie les deux bosmers qui finissent par partir, jurant néanmoins de revenir.
L'impériale pense qu'en cas de problèmes, malgré les circonstances, elle serait prête à accueillir les deux assaillants ne serait ce que pour prouver la bonne fois du Cercle. Un avis que ne partage pas la dunmer.
Les impacts contre les protections reprennent. Llevana et Gaea pensent alors modifier la protection pour que celle-ci renvoie la force de l'impact à son envoyeur... Mais elles n'ont fait que l'affaiblir.
Llevana distingue une bête daedrique qui entrouvre la porte qui se fragile et laisse jaillir des flammes.
C'est une bête massive, quadripède, aux yeux rouges et l'air vaporeuse qui se dresse devant les filles.
Face à l'urgence de la situation, Gaea commande aux morts d'immobiliser la bête afin de la lacérer mais n'a pas la force nécessaire pour cette dernière tâche. Llevana quant à elle profite que la bête soit bloquée pour tisser une langue de flammes sur la bête, la repoussant.
Le silence revient. Llevana et Gaea sont seules et blessées. C'est un bain de sang qui vient d'être éviter... Les dégâts sont bien là en revanche.
Ensemble, elles montent la garde devant l'entrée tout en espérant que les autres se portent bien.








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