Le moment est venu pour la confrontation finale. Gaea et Llevana partent devant en compagnie de Siegfrid et de deux guerriers qui en veulent aux nécromanciens après avoir été humiliés par ces derniers. Shaehia les y rejoindra plus tard.
La nibenaise n'est pas très à l'aise dans l'exercice.. Temporisant pour que l'apprentie d'Anelaïce puisse les rejoindre au plus vite. Elle craint effectivement que sa camarade Llevana décide d'une approche destructrice.
Il en va de même pour les guerriers dont la nibenaise exige qu'ils restent à l'écart, masquant ses craintes qu'ils ne tuent tout ce qu'ils trouvent en justifiant qu'il s'agisse d'une affaire qui ne regarde que le Cercle.
Alors lorsque les guerriers décident d'avancer faute de nouvelles, Gaea n'hésite pas à sortir de sa cachette pour aller leur exprimer crûment son mécontentement. Elle revient à Llevana en disant qu'elle a l'impression que chaque hommes cachent en eux un Jean-Luc et qu'ils mériteraient tous de se faire couper une main.
Les deux Larmes voient une femme encapuchonnée à l'entrée du repaire des nécromanciens. Celle-ci s'y précipite... Ont-elles été repérées ?
Llevana et Gaea décident d'entrer dans le repaire. Le sol gelé, la dunmer glisse et chute à terre. La nibenaise va aux nouvelles de sa camarade, plaisantant sur le fait qu'il serait malvenu de faire croire aux nécromanciens qu'elles ont eu une randonnée douloureuse.
Puis elles font face à une pente raide. Llevana et Gaea débattent longuement sur la meilleure façon de descendre sans se faire mal... Parlant de dignité si elles optent pour glisser sur les fesses jusqu'au contre bas. Tant de blabla, cette pente pourtant non glissante restera à jamais dans les anales des plus grands adversaires des Larmes.
Un guerrier n'a pu s'empêcher de tout de même venir voir. Mettant en colère la nibenaise qui l'invite à retourner dehors.
Llevana et Gaea arrivent enfin devant une porte. Leur approche initiale consistait à se faire passer pour des nécromanciens.. Llevana choisissant le surnom de Valeria et Bermuda ou Faloria pour Gaea. La dunmer décide d'appeler Pantacourt sa camarade impériale.
Mais une fois dans l'antre des nécromanciens, la nibenaise doute de la stratégie... Et qu'est-ce qu'elles feraient ici ? Et si c'est un lieu dont l'accès est restreint à quelques membres du Ver ?
La caverne est en tout cas maintenue à une température plus acceptable. Du matériel y est entreposé, assez pour survivre un certain temps... De la nourriture par exemple. Mais aussi des gémissements, sans doute les sujets des nécromanciens.
Dans cette ambiance sinistre où des voix lointaines se font entendre dans les étages du bas et des rires en haut, Gaea brise la tension en qualifiant tout ceci de semblable à un bordel bravilien.
Choisissant une direction, le binôme arrive dans un laboratoire : pierres d'âme, de l'anima sous forme alchimique, des ingrédients variés, des os et du sang ici et là entre autre.
La dunmer et l'impériale font face à deux nécromanciennes. L'une d'elle s'avance comme pour protéger celle qui semble être sa Maîtresse.
La grande nécromancienne ne s'attend pas à la moindre once de coopération de la part de la dunmer. Rejetant l'idée qu'elle soit responsable de la somme des décisions funestes qui ont mené les Larmes jusque là... La nécromancienne se définit elle-même comme une victime de plus.
Face à autant de méfiance de la part de Llevana, l'apprentie nécromancienne s'exprime. Disant que sa Maîtresse dit vrai.
Une servante bosmer entre à son tour dans le laboratoire. Le binôme du Cercle des Larmes se retrouve donc encerclé.
Gaea tente son vatout, prononçant le nom de Gitael. Llevana de son côté ose un "Homme-poisson", obtenant un léger sursaut de l'apprentie nécromancienne dont on peut distinguer une marque au dessus de la hanche... C'est bien Uazu sous ce masque.
La bosmer réagit au prénom de sa fille. Gaea est soulagée de savoir la mère de Gitael toujours en vie. La grande nécromancienne dit que sa servante a rempli son rôle et qu'elle peut partir librement.
Mais du côté de Llevana, la confrontation avec Uazu tourne à l'agacement. La dunmer estime qu'Uazu a beau défendre la nécromancienne, elle est très certainement sous leur contrôle une fois de plus.
Uazu défend que Daeliane est une bonne personne et ce malgré les apparences. Elle n'a jamais rien voulu de tout ça.
Puis vient le moment où Llevana sort de son inventaire une dague ensanglantée et la plante aux pieds de la crevassaise : c'est sa dague. Et l'origine du sang ne laisse pas l'ombre d'un doute à la crevassaise qui défend qu'elle n'aurait jamais osé s'en prendre à Anelaïce.
La dunmer reste ferme. L'accusant d'avoir délibérément fait le choix de rester avec l'ennemi.
Dans un moment si critique où Uazu a peur pour Daeliane, la crevassaise lui demande via leur "communication intérieur" si elle est heureuse d'être à la merci de Molag Bal alors qu'elle même n'était pas heureuse de savoir sa propre sœur l'être. La haute elfe ne semble pas encline à dire qu'elle en est heureuse, n'ayant pas vraiment eu le choix d'accepter son destin.




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