Le Cercle est forcé de quitter Rougepel, n'y étant plus le bienvenu après les récents événements. Un dernier sujet est néanmoins abordé sur place : la mère de Gitael.
Gaea s'en veut particulièrement et exprime son désarroi et sa culpabilité. L'étrange amulette que portait la mère de Gitael l'avait intrigué au repaire des nécromanciens mais elle a jugé qu'il serait bon de s'y pencher une fois à l'abris. Erreur... Car à présent la mère de Gitael est comme "ailleurs" et ne reconnait plus ou à peine sa fille.
En parallèle, une Uazu particulièrement angoissée martèle sans cesse un étrange leitmotiv : "La magie peut défaire ce qu'elle a fait".
Les jours défilent. Le Cercle est maintenant au beau milieu de Val-Boisé, loin de toute civilisation. Uazu reprend son activité favorite : la chasse. A ceci près qu'elle prend peur lorsqu'elle distingue un étrange voile quittant la corps mort de ses proies.
La crevassaise sent également une étrange sensibilité à la magie s'éveiller en elle. Elle se projette comme chamane, pour communiquer avec les esprits comme les "vieilles de son clan". Mais elle n'a aucune base et pense qu'Anelaïce saura la conseiller même si les circonstances sont assez mauvaises.
Ce que Uazu voit, c'est l'animus quittant un corps pour rejoindre l'Ætherius.
Voilà qui surprend Anelaïce et Shaehia. Est-ce lié aux récents événements ? Est-ce traumatique se demande même l'apprentie rougegarde.
Selon Ane, c'est la conséquence d'un "don" offert par Oblivion, mais elle doute que la crevassaise ait fait un quelconque pacte avec les daedras.
Un don reste tout de même un problème s'il échappe au contrôle de celui qui le possède. Anelaïce demande donc à Uazu si elle a le sentiment d'être constamment observée. Elle n'obtient qu'une réponse évasive.
La prêtresse propose de défaire la chose sans offrir de garantis de succès à la sauvageonne. Sinon, elle demande à voir ce qu'elle compte en faire.
Uazu veut profiter de ce don pour faire le bien et compte le garder. Malgré les avertissements d'Anelaïce, elle est consciente que tout contrôle d'anima est dangereux.
La crevassaise prend ensuite à part Shaehia, voyant en son amie la seule alliée possible pour accomplir des missions pouvant s'apparenter à des méfaits dans le seul but de protéger Anelaïce.
Uazu apparaît à Shaehia particulièrement angoissée et est très évasive. La crevassaise craint de perdre son amitié avec l'apprentie rougegarde à l'issue de cette discussion.
Après tergiversation, Uazu s'exprime enfin : même si Anelaïce se porte bien, il y a un risque que ça ne dure pas car elle a été liée au rituel de Vaeneria. La nécromancienne a réussi à prélever de son sang et l'a lié au rituel... Semblant croire que c'est suffisant.
Uazu veut comprendre que qui rend Anelaïce si spéciale aux yeux des nécromanciens... Pourquoi est-elle tant convoitée pour un rituel ?
Enfin, la crevassaise explique que Daeliane pense qu'Anelaïce n'est pas la seule personne ayant de tels facultés. Retardant sans doute l'aboutissement du rituel pour lui laisser le temps de trouver un autre individu du même acabit.
La crevassaise demande donc à Shaehia de l'aider à trouver un autre individu aussi spécial qu'Anelaïce. Ce qui révulse l'apprentie rougegarde qui refuse de s'y impliquer. Et ce même si l'individu est un connard comme le dit si bien Uazu.
Face à ce refus, la crevassaise pense avoir perdu Shaehia. Mais il n'en est rien, l'apprentie rougegarde aime toujours autant la sauvageonne... Mais pense que son esprit est toujours embrumé.
Uazu est agacée, ayant le sentiment que tout le monde pense qu'elle n'a pas la pleine possession de ses idées. Elle sera toujours vue bizarrement... En tant que crevassaise, de par ses difficultés à s'exprimer et de par sa fréquentation récente avec les nécromanciens qu'elle a défendu.
Parfois, Uazu a tout simplement envie de rejoindre ses parents dans l'au-delà.
Shaehia l'encourage tout de même de parler avec Anelaïce de tout ceci. La rougegarde demeure attachée mais inquiète pour son amie.




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