dimanche 30 avril 2023

Denis de Petignan

Nom : Denis de Petignan
Race : Bréton
Sexe : Homme
Anniversaire : 21 Âtrefeu 2E 539
Âge : 52 ans (en 2E 591)
Faction : Indépendant
Métier / archétype : Chevalier (anciennement)


Denis de Petignan est mon troisième et dernier personnage one shot de la "trilogie des chevaliers brétons" lancé l'année dernière. Il devait être jouer en 2022 mais mon calendrier et mon retrait du jeu sur une longue période a repoussé l'apparition de Denis. 
Sur les trois personnages, il est celui dont j'avais déjà une bonne idée de ce que je voulais jouer. Un chevalier déchu, malhonnête, ambitieux et criminel qui se tait dans la cité d'Abah. 
Je voulais à l'origine qu'il adopte une armure de style ébonite sans pour autant que ce soit le matériau utilisé pour l'armure dans le RP. Mais les pages étaient trop couteuses à l'époque et je me suis reporté sur un tout autre motif ou du moins un mixe entre deux motifs. L'aspect chevalier noir est volontaire.
Dans l'idée, le personnage est un "connard" à l'image de certains croisés dans Kingdom of Heaven.

Membre de la Maison de Petignan d'Haltevoie, Denis de Petignan est le plus jeune de sa fratrie. Il participe avec sa famille à la guerre de Ranser en 2E 566 malgré la perte de son père, de son oncle et des cousins durant la peste knahataine. Il perd son frère aîné Hugues durant la guerre et se retrouve seul avec Guy, son aîné, et Isabelle sa tante.

Voulant hériter de la fortune de ses défunts parents, Denis tente d'assassiner Guy sans succès mais parvient à faire assassiner Isabelle sans se douter que celle-ci s'est unie à un certain Raymond en 2E 581. Il parvient toutefois a masqué ses implications dans ces tentatives et a le culot de combattre aux côtés de Guy en tant que lieutenant.

La chance lui sourit en 2E 582 lorsque Guy est sauvagement abattu par l'Ordre du Ver noir. Denis prend le commandement de sa cavalerie et ordonne le repli. Il se rend impopulaire par son inaction en Cyrodiil durant la Coalescence et les rumeurs d'un retour sur Haltevoie pour acter sa prise de pouvoir dans sa Maison.

Se faisant appeler le "chevalier noir", l'impopulaire Denis repart pour Cyrodiil en 2E 583 bien après la fin de la Coalescence. Un retour tardif sur le front puisqu'il s'était déclaré souffrant à cause de "rations gâtées". Il simula donc une maladie jusqu'à ce que la fin de l'occupation daedrique soit avéré bien qu'il ait pris son temps. Les médecins diront que le rétablissement du seigneur relève d'un miracle puisqu'aucun remède ne semblait fonctionnel sur ce dernier.

Le chevalier noir enchaîne les défaites entre 2E 583 et 2E 585, date à laquelle il est forcé de se retirer de Cyrodiil par le désormais Raymond de Petignan qui parvient à mettre un nom sur le commanditaire du meurtre de son épouse quatre années plus tôt.
Denis ne rentre pas et avec l'aide de loyalistes, il décide de se cacher aux Systres sous le nom de Guillaume Tartavelle. Là bas, il prend l'habitude de voler les nobles durant leur séjour dans les stations balnéaires. Il est aussi impliqué dans de faux paris lors des tournois de joute. 

Recherché en 2E 588, Denis change à nouveau d'identité et se fait appelé Renaud Grichaud dans un premier temps puis Louis Blagnac. Il se retire et mène des affaires de contrebande en Martelfell. 
Denis entreprend de renverser Raymond en 2E 590 mais échoue. Il est forcé de s'exiler en Martelfell où il ne cache plus sa véritable identité. Pillant au passage des familles brétonnes puis s'attaquant à des convois de nomades rougegardes dans le désert d'Alik'r.

Denis créait l'agitation dans un camp nomade lorsqu'il s'attaque et pille directement sur place les marchandises et autres biens des rougegardes en Ondepluie 2E 591. Mais il a la désagréable surprise d'avoir affaire à une ancienne capitaine de la Légion impériale déterminée à le poursuivre.
Le chevalier noir prend la fuite vers Abah où il a prévu d'y écouler des jours heureux. Mais constatant que l'impériale est encore à ses trousses, il engage un mercenaire khajiit pour l'éliminer sans succès. Il prévoyait d'éliminer le Khajiit ceci fait mais ce dernier a été retrouver carboniser dans la cour d'une taverne.

Toujours sur ses gardes, Denis parade dans les rues d'Abah à dos de monture et fait la rencontre d'une brétonne qui ne le laisse pas indifférent. Se renseignant sur l'existence d'un établissement de courtisanes de luxe, il entend à nouveau parler de cette mystérieuse dame do Sulma. Une femme de pouvoir et dont il cherche à l'évincer, ne manquant jamais d'ambition comme cela a toujours été le cas. Il est d'autant plus attirer par l'immense palais de la dame.
Alors qu'il parle avec la brétonne, la fameuse dame se présente à lui. Le bréton s'empresse de lui faire des courbettes et fait part de son immense intérêt pour visiter le palais avec des "présents"... Ne se doutant à aucun moment que la dame est aussi et surtout une nomade, et qu'elle sait pour les agissements d'un pillard bréton sévissant dans le désert d'Alik'r.

Présomptueux, Denis pense n'avoir à faire qu'à de simples dames de la cour et qui lui sera simple d'établir un château en lieu et place du palais de la dame rougegarde. 
Malgré un chariot rempli de présents et son rang de "chevalier", le bréton est forcé de faire la queue comme les autres clients de l'établissement. Après une bonne heure d'attente, il retrouve dame do Sulma et sa favorite brétonne qui l'emmènent dans le magnifique palais qui le laisse sans voix. Une structure immense, exotique et magnifique.. C'est un établissement de luxe. Il se laisse attirer par les couloirs, entre musique, rires, gémissements et murmures. Se doutant par ailleurs que c'est en ces lieux que le pouvoir s'exerce et non dans un château aux fonctionnaires endormis.

Le chevalier bréton a l'immense privilège de profiter des services de la reine des lieux, dame do Sulma et sa favorite en personne. Enchaînant breuvage et luxure tout en confiant par mégarde ses vices dont elles se nourrissent. 
Assailli par les deux femmes et à peine conscient après avoir ingéré pas moins de trois breuvages différents, Denis commence à voir des choses mais pense que c'est le fruit de son imagination. Allant jusqu'à renoncer à ses objectifs pour ne se focaliser que sur l'instant présent qu'il rêve éternel, lui le roi et ses deux reines. Se sentant quelque peu à moitié vide à mesure que la dame l'embrasse.

Denis de Petignan est officiellement porté disparu et présumé mort. Je garde pour le moment secret ce qu'il est advenu de ce dernier au palais de la dame. Mais comme toujours dans sa vie, le chevalier noir était trop sûr de lui, a pris des décisions regrettables qui ne faisaient qu'un peu plus lui causer sa perte.

vendredi 28 avril 2023

[Présentation visuelle] Personnages 2022 > 2023

Uazu - Crevassaise v2

Carantus Naevius - Armure

Godefroid l'Emmental

Jean-François de Coupeterre

Denis de Petignan

Lycoris Naevius - Nomade

Gaea Naevius - Larmes A

Malivus Severus

Uazu - Larmes

[Larmes] Une soirée calme

Gaea passe son temps à méditer ou à dessiner. En ce moment, la nibenaise effectue des croquis de sa défunte sœur, voulant peindre un portrait de cette dernière.
Elle retrouve Mère Anelaïce discutant avec dame Fridhilde exactement à l'emplacement où les trois femmes se sont retrouvées pour la première fois au sein du nouveau quartier général des Larmes. La prêtresse, épuisée, finissait sa méditation.

Plongée dans ses croquis, Gaea semble à moitié éveillée. Ce qui attise la curiosité de la nordique qui apprend le côté artiste de l'impériale qui n'en avait pas encore parler à grand monde dans la compagnie.
La nibenaise promet de présenter son carnet de dessins à la nordique et la prêtresse prochainement. Les invitant même au manoir Sabinian où se trouvent la plupart de ses travaux en cour.


A cela la nordique recommande la prudence. Aux environs du quartier général, et plus particulièrement dans le hameau à proximité, se trouvent des mercenaires. Fridhilde ignore qui ils sont et la raison de leur présence. Elle jettera un œil sur ces dits mercenaires au petit matin, d'où son armure pour pallier à toutes circonstances.
Anelaïce se demande si les locaux ne confondent pas les membres de la compagnie avec des mercenaires. Surtout que certain en ont franchement l'air. Mais lorsque la nordique dit qu'ils ont l'air de mercenaires qui savent ce qu'ils font, Gaea en déduit que ce ne sont pas des membres des Larmes.

Les cascades couvrant les pas, il est assez facile de surprendre les Larmes qui discutent le dos tourné aux entrées. Surtout si ceux-ci n'osent pas interrompre leur camarade en pleine conversation à l'image de Gaea, et de sœur Victoire qui surprend à son tour Gaea.
Sœur Victoire passait simplement par là, se dirigeant vers le château pour le bénir, invitant ses camarades à lui faire signe en cas de besoin. La nibenaise hésite à vouloir se joindre à elle, mais ne maîtrisant pas les rites elle laisse tomber de peur de commettre un impair. Son âme est profondément consumé par les ténèbres, même si elle fait remarqué que mère Anelaïce lui a permis de retrouver la lumière. Elle comme Fridhilde se proposent en cas de besoin, la nibenaise étant encore inquiète de l'état de la jambe de la brétonne.


Toujours aux soins des personnes qu'elle apprécie, Mère Anelaïce remet des onguents à la nordique pour ses douleurs. Invitant aussi cette dernière à dormir dans le temple même si elle ironise sur le fait que les fantômes fuient la nordique la nuit. Apprenant par ailleurs que la nordique dormait avec sa monture.
Ce qui ironiquement scinde le groupe en deux. Comme si les partisans de la prêtresse dormaient au temple et les partisans de maître Vidron dormaient dans le fort.

Seules, Gaea et Fridhilde en profitent pour faire plus ample connaissance. Discutant brièvement de peinture et des membres de la compagnie. La nordique, qui aime l'art de la guerre, est d'ailleurs chargée d'entraîner Shaehia.
Lorsque la nibenaise lui demande si elle a des nouvelles d'Hildeborg, Fridhilde répond qu'elle se porte "bien mieux". Lui apprenant que sa cousine a perdu son mari et son fils, Mère Anelaïce était là pour l'accompagner dans son deuil.
Gaea est en état de choc, se projetant dans ses propres pertes. Elle en déduit que si Hildeborg a suggéré à sa cousine d'accompagner les Larmes pour son "bien", c'est aussi pour l'aider à tourner cette douloureuse page. Et après un bon aperçu des membres de la compagnie, elle comprend mieux le rôle de "bergère" que lui a donné l'ancienne larme.

Gaea Drusus

Nom : Gaea Drusus
Race : Impérial
Sexe : Femme
Anniversaire : 21 Sombreciel 2E 571
Âge : 20 ans (en 2E 591)
Faction : Indépendant
Métier / archétype : Mercenaire


Apparue pour la première fois en tant que PNJ dans la trame de la Légion au Marais noir, j'ai décidé de faire de Gaea un personnage à part entière tant elle présentait un potentiel. Le choix du prénom Gaea était avant tout un clin d'œil à la Naevius que les deux joueurs de la Légion ont connu dans une tout autre trame. Le PNJ avait été jouer avec le personnage de Lycoris casquée et armure lourde lorsque la cohorte rentrait par le nord d'Elsweyr.
Le personnage fait son retour avec son propre modèle lors de la trame de l'Etoile avec les Larmes de Stendarr. Elle est alors équipée d'une armure semblable aux mages de bataille impériaux parus en 2021. Son look est amélioré début 2023 avec une coupe de cheveux correspondant mieux à mon idée du personnage et une armure impériale adaptée à ses actions.

Gaea Drusus est née d'un père inconnu et d'une mère malade à Bravil en 2E 571. Outre le fait qu'elle s'amuse innocemment avec d'autres enfants de la ville, elle doit faire face à la rudesse de sa condition de vie. Du fait de la situation de sa mère, la jeune nibenaise a eu beaucoup de chance de grandir sereinement quoique souvent le ventre vide. Elle promet que lorsqu'elle sera en âge de le faire, elle trouvera un travail pour améliorer les revenus de sa famille.

Plutôt joueuse durant son enfance, Gaea se crispe pour une raison quelconque durant le début de son adolescence. Faisant finalement l'objet de moqueries de ses camarades et finissant souvent seule du fait de sa timidité.
Le contexte en 2E 579 n'aide pas et avec la guerre l'année suivante, Gaea se tend et est très inquiète pour son avenir et celui de sa mère dont l'état se dégrade. Il lui arrive de faire des nuits blanches, par hantise de voir sa ville natale s'embraser dans les flammes du Domaine.

Le Domaine Aldmeri prend possession de Bravil au début de la guerre. La prise de contrôle de la ville par des étrangers inquiète Gaea qui n'est pas au bout de ses peines. Elle perd sa mère et unique tutrice en 2E 581.
Seule, elle est prise en charge par une famille de fermiers vivant hors des murs de Bravil. Elle aide dorénavant à acheminer des vivres entre Bravil, Caer Suvio et Mir Corrup, découvrant pour la première fois une ville prospère contrastant beaucoup avec le bidonville où elle a grandi.

Effrayée à l'idée de quitter un jour la Vallée de Nibenay, Gaea songe désormais à voyager et découvrir de nouvelles régions comme le lui avait souhaiter sa défunte mère. La Légion impériale est une belle opportunité pour voyager tout en percevant une solde. Mais les institutions de l'Empire de Cyrodiil sont actuellement corrompues et en crise. La jeune nibenaise est témoin des horreurs de la Coalescence en 2E 582. Elle se contente donc du peu qu'elle a, y trouvant du bonheur malgré les agitations de l'époque qu'elle vit.

Âgée de seize ans, la jeune Gaea songe à abandonner son travail pour l'aventure. Elle est aussi en âge d'intégrer la Légion impériale mais ses employeurs lui demandent de rester car elle fait du bon travail et que la main-d'œuvre manque. La nibenaise accepte par respect pour ces derniers sans qui elle n'est pas sûre d'être encore en vie.

La guerre des Alliances fait beaucoup de victimes collatérales et son champ est attaqué par les troupes du Domaine en 2E 588. Elle manque de se faire écraser sous une tonne de ballots de paille. Les autres n'ont pas eu cette chance et Gaea se retrouve à nouveau seule.
Face à l'injustice de cette guerre, la nibenaise décide d'intégrer la Légion en 2E 589 dans le but de se rendre utile au peuple impérial. Elle est notamment sondée par un certain Malivus Severus qui l'oriente à la richissime, prospère et martiale Skingrad.

Elle intègre très tardivement la brigade de la Stride lors d'une session de recrutement en 2E 589. A peine arrivée, sa brigade est incorporée dans une cohorte en partance pour le Marais noir où sa Légion doit reprendre le contrôle d'un fort.
La jeune recrue sympathise avec les recrues Tertius Morus, Antias Severus, Quintilius Quintus et Vladomias Ursus, un groupe de bons vivants comme il y en tant dans cette brigade. Tertius est celui qui l'invite à se joindre aux siens, ce qui rend enthousiaste et heureuse l'impériale toujours de nature timide. Elle rattrape son retard dans ses entraînements avec ces derniers.

Cette campagne du Marais noir n'est pas forcement ce à quoi s'attendait Gaea de la Légion. Elle pensait protéger et servir le peuple de Cyrodiil mais elle se retrouve à reprendre le contrôle d'une forteresse.
Elle a la chance d'être bien entourée alors que la campagne bat son plein. Après son sauvetage et sa reprise de fonction, le légat Darius Naevius se révèle être un connard. Elle porte néanmoins un regard désolé et admiratif pour sa supérieure, Lycoris Naevius, qui respecte ses hommes et combat à leur côtés.
Lors du retour pour la Côte d'or, elle est sollicitée par ses supérieurs pour éclairer la route au nord d'Elsweyr pour évaluer le passage des chariots.

Gaea a su prendre de l'assurance avec son petit groupe malgré la trahison de l'un d'eux en la personne de Marius Potav. Elle fait parti d'une petite compagnie, la compagnie Morus composée de ses amis et qui change bientôt de nom en compagnie Drusus.
Durant la crise de la Côte d'or, la compagnie prend la décision de déserter et de prendre une direction autonome : celui de venir directement en aide au peuple de Cyrodiil touché par la guerre. Gaea en devient la commandante après bien des épreuves, bien qu'elle soit toujours secondée par Tertius aussi son mentor. Ensemble, ils décident de s'associer à la Société des Inébranlables œuvrant pour la même cause.

A la fin de l'année 2E 589, Gaea et les siens retrouvent leur ancienne commandante avant de nouveaux adieux. Mais la compagnie est finalement sollicitée par leur ancienne capitaine au début de l'année 2E 590 pour retrouver la trace d'un certain Andros Tartaros. La nibenaise relève le défi avec brio et l'emmène bâillonné dans une auberge d'un district de Bravil pour le soumettre à un interrogatoire.
Au fil des mois, le moral de Gaea prend un coup avec la perte de Vladomias puis lorsqu'elle apprend que ses associés de la Société des Inébranlables avaient un lien avec les terroristes de l'Ordre Ascendant. Malgré que la Société en soit débarrassé à la fin de l'année, Gaea décide de rompre leur coopération. Ne sachant pas que ces mêmes terroristes sont responsables de la mort d'Antias.

L'affaire Blavas au début de l'année 2E 591 porte un coup fatidique au moral de Gaea. Réduite, la compagnie perd tout ses membres à l'exception de Méric. La perte de ses amis et surtout de Tertius est un cauchemar éveillé pour celle qui leur doit beaucoup.
Le vieux mage Malivus Severus lui tend la main pour réintégrer la Légion mais Gaea décline. La nibenaise voulant faire le deuil puis lorsqu'elle sera de nouveau prête, préserver son indépendance et donc sa liberté d'action pour venir en aide aux citoyens et démunis.
Elle quitte cependant Méric, lui qui n'était pas un guerrier mais qui était toujours aux côtés de ses amis. Nul ne sait de quoi est fait l'avenir.

Avec Uazu, Gaea Drusus incarne ma jeune génération de personnages impériaux en rôleplay. Lycoris, Aïsha et Gaea Naevius commençant à être des personnages séniors. Contrairement aux autres personnages qui ont une histoire profonde et un vécu RP assez important, Gaea Drusus n'est pas destinée à connaître le même parcours. C'est un personnage secondaire que j'utilise en électron libre, les rencontres risquant d'être éphémères. Mais là dessus, seul les aléas du RP en décideront.

mardi 25 avril 2023

[Larmes] Vers une rédemption ?

Soucieuse de savoir si son amie est parvenue à faire la paix avec elle-même, Mère Anelaïce tenait absolument à discuter avec Gaea à l'abris des regards. L'invitant à déjeuner avec elle pour discuter du temps passé depuis leur dernière rencontre.
Sans s'y attendre, la prêtresse et l'impériale sont interrompues par l'arrivée inattendue de maître Rumariil. Un visage amical qui soulage la prêtresse, outre ses méditations avec Y'ffre, en cette période compliquée. Et l'haut-elfe s'interroge sur le cas du bréton dont il était encore persuadé d'être l'origine de l'incendie causé dans une auberge, provoquant la colère des locaux à l'égard de la compagnie. La prêtresse le corrige, l'incendie étant le fait de sœur Llevana et d'un sort mal avisé. En outre, Rumariil pensait que l'origine du conflit venait d'ici.

Tandis que Maître Vidron gardait seul la forteresse, chacun était parti de son côté. Mère Anelaïce et ses apprenties ont croisé tout à fait par hasard maître Rumariil et Hildeborg vers Abondance. Puis elles ont découvert le piteux état dans lequel s'est retrouvé l'ancien siège de la Compagnie en Bordeciel. Restaurant simplement l'autel de Stendarr "pour que sa lumière guide quelqu'un un jour" avant de repartir.
Gaea pensait que Mère Anelaïce et le vieux mage Tobias s'entendaient bien, à en croire les paroles de ce dernier... Mais durant son voyage, la prêtresse a été surprise de voir le vieil elfe la retrouver. Prétextant avoir un problème avec un artefact dangereux pour l'approcher lors d'un spectacle d'une troupe Baandari. Fort heureusement, Shaehia n'avait rien remarquer en trouvant de l'amusement ce soir là et préservant donc son innocence.
La prêtresse apprenait par ailleurs que le vieux mage est recherché par le Thalmor et qu'elle préfère dorénavant le savoir loin de la compagnie. Rumariil et Gaea acquiescent.


Pour les prêtresses, leur présence dans la compagnie n'est qu'une étape de la vie. Bien que durant leur voyage, le fait de retrouver par hasard des camarades de la compagnie inquiète ironiquement la prêtresse altmer qui ne sera jamais "tranquille". Mais pour l'heure, il y a encore des âmes à guider vers la lumière au sein du groupe.
Anelaïce est heureuse que la nibenaise ait plus ou moins trouver la paix après l'affaire de l'Etoile. Découvrant que Gaea trouve la paix et s'évade en peignant des paysages, ce qu'elle a commencé à faire en se baladant dans la Crevasse aux côtés d'Uazu. Méditant toujours lorsqu'elle le peut et aimant à croire que sa sœur est à ses côtés en ces moments là.
Mais il y a une chose du passé qui se manifeste encore en elle.. L'usage intensif de magie depuis son plus jeune âge provoque des douleurs au cœur qui ne cessent de s'intensifier depuis quelques années même si c'est encore supportable. 

Gaea reconnaît se sentir mal avec cette tension entre Anelaïce et Jean-Luc. Cette inimitié entre les deux camarades ayant atteint son paroxysme lorsque le bréton a sauté au chevet de Shaehia alors qu'une menace guettait encore le groupe. Une suite de reproches puis la goute d'eau.
La nibenaise entend et comprend la situation. Le bréton est bien trop fier et peine à entendre les autres. Son attachement pour l'apprentie rougegarde n'aide pas non plus. 
Invitant Gaea à le lui dire, Anelaïce prend connaissance de la requête du bréton voulant se soumettre à une épreuve. Ce que les deux femmes reconnaissent comme une demande ridicule. La prêtresse lui reprochant simplement son égoïsme et ses arrangements avec la vérité tout en récitant des mots creux dans son esprit. Le bréton est vraisemblablement perdu et la méditation pourrait lui faire le plus grand bien.


Anelaïce reconnaît que cette suite de situations est le résultat de mauvais choix de sa part. Révélant que Shaehia se destine à devenir une sorcière pour travailler le maniement de rites et arts oubliés. Ce qui n'est pas simple avec Jean-Luc dans les parages.
Les récents événements ont prouvé à la prêtresse altmer qu'elle n'aurait jamais du intégré un Saint ordre par attachement pour sire Siegfried. Ce chevalier des Divins qui a appris pour les enseignements qu'elle mène à Shaehia et qui couvre comme il peut ses agissements et "études". Regrettant de voir son cœur se déchirer entre deux idéaux opposées, et qu'il le fait par amour pour Kas'Syl Dei, la sœur bosmer de la famille adoptive d'Anelaïce. Gaea y voit un parallèle avec Shaehia et Jean-Luc que l'altmer pourrait craindre.

La prêtresse altmer encaisse beaucoup mais garde toujours un regard empli de douceur et de bienveillance malgré les épreuves. Malgré l'exaspération que lui procurent maître Vidron ou sire Freyard, Anelaïce peut toujours compter sur les autres membres de la compagnie.
Ayant connaissance des mauvaises nuits de Gaea dans le fort, Anelaïce l'invite à prendre place au sein du Temple. Ce que l'impériale accepte volontiers avant de se voir remettre un petit sachet rempli d'herbes à infuser dans du thé chaud pour ses douleurs.


L'impériale se sent plus légère le jour suivant. Ayant passé une bien meilleure nuit dans le Temple et libérer sa parole au sujet du bréton.
Le soir même, Gaea surprend Mère Anelaïce et Shaehia discutant avec sire Freyard aux écuries. Kas'Syl Dei qu'elle n'a plus revu depuis fort longtemps était aussi là aux côtés de sa sœur altmer. 
Le bréton implore encore et toujours la prêtresse de lui imposer une épreuve. Mais Shaehia lui fait justement remarqué qu'il n'y a nul besoin d'abattre un gobelin, une approbation ou un titre clinquant pour être pieux. Il lui suffit de prier, aider son prochain et d'être juste. S'ajoutant à ses sages paroles les commentaires brut de décoffrages mais criant de vérité de la bosmer. 

Kas'Syl Dei interroge Jean-Luc. A t'il demandé l'avis de Shaehia quant à son attachement pour elle ? Une simple discussion aurait largement suffit, ce que la rougegarde reconnaît. Lui avouant par ailleurs qu'elle ne se sent pas prête à cela. Le bréton n'ose regarder l'apprentie, se voilant la face en affirmant que ce sentiment n'a aucune importance et que seul le groupe importe. Bien qu'il revienne finalement à la charge en prétendant vouloir absolument protéger Shaehia, peinant à se défaire de son attachement pour elle.


Cette entrevue terminée, Shaehia est surprise et très heureuse de revoir Gaea qui observait silencieusement la réunion. Avant de rejoindre l'apprentie pour prendre de ses nouvelles, la nibenaise prend un peu de temps pour discuter avec le bréton.
Même si elle n'avait rien promis, l'impériale a bien soumis la requête du bréton à la prêtresse. Jean-Luc apprécie le geste mais comprend qu'elle-même est dubitative sur la question d'un test ou quelconque épreuve. Une méditation avec son être intérieur, voilà qui serait bien plus utile.

L'ancien capitaine bréton avoue que la compagnie n'est pas vraiment ce qu'il imaginait. Y voyant des mercenaires et une sorcière "désintéressés" par le Divin Stendarr que représente leur ordre. Puis il se crispe lorsque Gaea lui dit qu'elle est elle-même une nécromancienne en réponse à une interrogation sur ses connaissances.
L'impériale trouve pathétique la réaction du bréton. Lui comptant donc son histoire de façon simple et concise. Elle n'a jamais eu le choix, elle était un outil de sa famille et de l'Etoile dès sa naissance. Lorsqu'elle a pris conscience de ses actes, elle a songé à se venger et a vécu seule. Commençant à avoir le choix de ses actes dès cet instant. Elle n'a revu la lumière et trouver la paix que grâce à Mère Anelaïce. Renonçant à ramener à la vie sa sœur alors que c'était son but ultime et ce encore grâce à la prêtresse. Mais malgré un dénouement heureux, elle ne vivra pas longtemps. L'usage abusif de magie depuis son plus jeune âge la condamne déjà.


Le bréton est attristé par l'histoire de sa camarade. Gaea enchaîne et insiste sur le fait que le groupe est hétéroclite. Peu importe le passé ou la nature de chacun tant que tous mettent leur savoir et compétences pour faire le bien. La compagnie n'est qu'un support, le plus important demeure en les actes. 
En respectant les autres et en aidant les personnes dans le besoin, son honneur perdu sera restauré. Le bréton était un soldat et a donc peur des créatures qui étaient généralement la cible de guildes. L'impériale l'invite donc à rester en retrait tout en aidant ses camarades. Nul besoin de faire preuve de bravoure quant il ne s'en sent pas capable. Lorsqu'il sera prêt à affronter les monstres, alors il pourra aider en première ligne.

Pour son plus grand désarroi, la compagnie n'est pas constitué de chevaliers des Divins. Et Mère Anelaïce lui impose de mettre de côté son égoïsme... Semblant maintenir son interdiction d'accéder dans l'enceinte du temple. Mais la volonté du bréton de servir Stendarr et ses camarades demeure inébranlable. En attendant, Gaea lui demande de faire l'effort qui lui est demandé. Cet exercice qui est peut-être l'épreuve que le bréton attend. En attendant, le bréton peut prier Stendarr en se tournant vers le Temple sans pour autant être dedans comme le lui fait remarquer sa camarade.
Lorsque le bréton se retrouve seul, il glisse et tombe, pleurant.


Shaehia semble très affectée et soulagée de savoir Mère Anelaïce à ses côtés. Pensant jusqu'ici que la prêtresse s'inquiétait de leur relation. Elle éclate donc en sanglot, la tête appuyée contre le ventre d'une Anelaïce la prenant dans ses bras, maternelle.
Lorsque Gaea approche, la rougegarde essuie aussitôt ses larmes pour paraître présentable. La nibenaise est très heureuse de revoir son amie après une longue période, lui demandant de ses nouvelles outre le fait qu'elle se soit amusée lors d'un spectacle Baandari. Devant une Shaehia gênée, Gaea se veut rassurante et n'en pense pas à mal. 

Voyageant comme toujours aux côtés de Mère Anelaïce, Shaehia a fait des rencontres enrichissantes. Tel que Fridhilde qui fait dorénavant parti de la compagnie, une personne fort appréciable aux yeux de Gaea. Mais le changement de certains, comme Jean-Luc, interroge la jeune rougegarde qui se sent responsable. Anelaïce et Gaea lui répondent qu'elle n'a pas à l'être.
En attendant, la nibenaise pense que le bréton est à présent dans une profonde réflexion et qu'il va travaillé sur sa personne.
Quant à Maître Vidron que Shaehia n'a pas eu l'occasion de revoir depuis, et bien... c'est Maître Vidron.

samedi 22 avril 2023

[Larmes] Une histoire sans fin

Après une semaine, Gaea n'est toujours pas à l'aise dans la forteresse des Larmes de Stendarr. Mais il y a pire encore avec l'affaire Freyard : comme bien souvent, la compagnie est plongée dans une crise interne. Et la nibenaise n'a pas eu l'occasion de revoir Shaehia depuis le temps.
Bien que les murs hauts de la forteresse cachent la vue extérieure depuis le parvis du Temple, l'impériale traîne sur le pont en fixant longuement la chute d'eau pour tuer le temps. 

Alors qu'elle s'apprête à entrer dans le Temple pour y retrouver Mère Anelaïce, un portail s'ouvre sur le parvis et un vieil altmer en sort. Il s'agit de Tobias que Gaea a eu l'occasion de brièvement rencontré l'année dernière.
Le vieil elfe malodorant vient suite à un appel de Maître Vidron pour discuter du cas Freyard avec Mère Anelaïce. Sur le coup, Gaea se dit que cette histoire risque de remuer la merde de l'autre jour. Elle l'informe par ailleurs que de défendre le bréton ne sera pas aisé.


Inquiète de ne pas voir Gaea, la prêtresse altmer sort finalement du Temple et constate avec surprise la présence de son vieux compatriote. Et autant dire que la prêtresse ne tarde pas à déchanter lorsqu'elle apprend les raisons et les circonstances de sa venue. Un agacement qui se décuple alors que Tobias prend la défense de son protégé tout en reconnaissant néanmoins certain torts. 
Mère Anelaïce et Fridhilde finissent très vite par y voir du chantage affectif et comprennent d'où vient le trait de caractère têtu du bréton. 

Face à cette nouvelle tension, Gaea prend la parole en rappelant dans un premier temps qu'elle est profondément attristée par cette situation. Car pour que Mère Anelaïce soit dans l'état dans lequel elle se trouve, le bréton a du franchir une ligne. Et le fait est que Jean-Luc fait parti des personnes l'ayant secouru l'année dernière lors de l'affaire de l'Etoile.
C'est aussi grâce à la prêtresse altmer que la compagnie existe toujours. Affirmant qu'elle est la meilleure chose qui soit arrivé à cette communauté et qu'elle est très aimée. Un départ des suites d'une tension aurait des conséquences catastrophiques. Concluant sur le fait que s'il est autant attaché au jeune bréton, le vieil elfe devrait le prendre avec lui et partir le temps qu'il se montre digne de revenir.
De son côté, Fridhilde suggère que si exclusion de l'enceinte il y a, Jean-Luc devrait travailler dans une ferme non loin pour se rendre utile. 


Tandis que le vieil elfe s'entretient avec Jean-Luc, Anelaïce remercie ses deux camarades de prendre parti pour elle. Pour Gaea c'est plus difficile, mais son attachement pour la prêtresse et le bien-être du groupe passent avant tout.
Epuisée par cet entretient, la prêtresse se retire dans le Temple quant le vieil elfe émerge à nouveau. La nibenaise demande simplement à Tobias de respecter le souhait de la prêtresse de se retirer. L'affaire est donc suspendu.
Recherché par le Thalmor, Tobias se réfugie en Hauteroche. Prendre en charge Jean-Luc serait difficile pour lui, le bréton étant recherché par l'Alliance de Daguefilante. Il est donc déterminé à faire entendre raison tôt ou tard la prêtresse.

L'impériale reconnaît qu'elle aimerait que chacun face un effort de son côté. Mais il est sans doute trop tard et il faudra, avec un peu de chance, beaucoup de temps pour une réconciliation... Rappelant au passage que le bréton n'a pas seulement insulté de sorcière la prêtresse, et que la réaction de ce dernier est surement du fait de l'incompréhension et de la colère. Mais toujours est-il que le sort de fardeau que Jean-Luc a reçu en pénétrant le Temple était aussi une réponse à sa provocation alors qu'il avait été fermement invité à ne pas franchir la porte de l'enceinte sacrée.
Gaea pense aussi que ce qui a peut-être agacer la prêtresse est le fait que Jean-Luc ait voulu libérer une abbaye par appât du gain puisqu'il a reconnu que c'était un contrat qu'il a saisit*. Toujours est-il qu'une tête de gobelin décapitée dans un sac pour se faire pardonner était fort maladroit.


C'est alors que Jean-Luc se présente devant ses camarades. Leur demandant pardon pour son attitude l'autre jour. La nibenaise lui rappelle cependant que ses excuses doivent être tourner à l'attention de la prêtresse. Néanmoins Gaea et Fridhilde viennent aux nouvelles des blessures dont a fait l'objet le bréton suite à sa mésaventure à l'abbaye. 
La nordique peine à entendre les belles paroles de Jean-Luc. L'impardonnable avec Shaehia est fait, et si le bréton prétend n'avoir jamais toucher un seul cheveux de la rougegarde, pourquoi cherche t'il tant à se faire pardonner ? Pour elle, c'est une question d'égo et elle apprécie mal que son camarade se cache derrière une question de bravoure atteinte.

Fridhilde et Jean-Luc s'emportent. Le bréton finit par insulter la nordique de mercenaire et ne comprend pas comment la compagnie peut recruter autre chose que des religieux. Gaea rétorque que la compagnie a toujours été ouverte à quiconque voulant faire le bien quelque soit sa nature.
Gaea appelle difficilement au calme, prenant au passage la défense de sa camarade nordique et rappelant au bréton qu'il n'est plus à Hatevoie**. Sur le coup, la nibenaise est agacée par Jean-Luc et reconnaît qu'elle va finir par faire abstraction de son soutient lors de l'affaire de l'Etoile.
Le bréton se retire après des échanges virulents. La nordique parvient à retrouver son calme, Gaea lui rappelant qu'il ne sert à rien de s'emporter. Cela ne ferait que contrarier la prêtresse si elle apprenait que Jean-Luc s'est de nouveau illustré. 
Avant de partir, le bréton a supplié Gaea de faire remonter sa requête à la prêtresse. Voulant qu'Anelaïce lui impose un test de vigile de Stendarr***. Mais la nibenaise ne peut rien lui promettre.

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*Jean-Luc précisera qu'il n'a pas touché la prime. Voulant prouver sa foi, le bréton a saisi une opportunité en libérant une abbaye de ses occupants gobelins. Il a été capturé et torturé avant d'être libéré par des aventuriers passant par là. Purifiant finalement les lieux. Le bréton avait au préalable prévenu ses camarades par lettre, demandant du soutient qu'il n'a jamais reçu. Seul une personne de la compagnie a reçu la lettre... Une personne avec qui le dialogue était déjà rompu.
**Ancien capitaine de la garde d'Haltevoie (murs sud de la cité), il arrive que le bréton s'exprime avec autorité comme s'il était encore le commandant qu'il fut jadis.
***Il n'est pas question ici de l'ordre guerrier fondé à la suite de la Crise d'Oblivion en 3E 433. Le bréton cherche avant tout une épreuve pour démontrer sa foi.

vendredi 21 avril 2023

Klang gro-Gum

Nom : Klang gro-Gum
Race : Orsimer
Sexe : Homme
Anniversaire : Inconnu
Âge : Inconnu (en 2E 591)
Faction : Indépendant
Métier / archétype : Ancien légionnaire, mercenaire


Klang gro-Gum est mon tout premier personnage rôleplay de race orsimer. Avec lui, j'ai joué l'intégralité des dix races jouables du jeu en rôleplay. Ce devait être un personnage one shot mais les circonstances font qu'il est finalement inscrit sur la durée en tant que garde du corps d'un personnage.
Il ne doit cette situation qu'à l'annulation du retour sur la durée de Courgette, ma bosmer qui a un grand vécu en RP et dont je craignais qu'un retour serait maladroit au dernier moment.
L'idée de base était un mercenaire lambda. Au final c'est une page blanche comme l'ont été Gaea Naevius et Uazu à leur début. Je suis très fier de l'armure qu'il porte et qui a été fait avec des contraintes liées à son nouvel environnement, mais aussi sur un possible développement de milice personnelle au joueur. Joueur qui m'a convaincu de poursuivre l'idée de l'orque et inciter à créer un lien impérial, Lycoris qu'il souhaitait à l'origine n'étant pas disposée à venir.

Le second Empire a été un précieux allié et protecteur des orques. Des orques qui ont toujours fait l'objet d'attaques de leur voisins brétons et rougegardes menant au saccage d'Orsinium et a la dispersion de ses survivants. Ce qui arriva à nouveau en 2E 431 avec l'effondrement du second Empire.
Klang gro-Gum a ainsi une certaine reconnaissance et un sentiment de redevabilité envers l'Empire de Cyrodiil. Il s'engage très tôt dans la Légion impériale et est affecté à la deuxième Légion.

Malgré sa haute estime de l'Empire, il faisait l'objet de discriminations et moqueries de jeunes ignorants de l'armée impériale. Sa forte carrure et sa capacité à intimider lui ont valu du respect et de l'admiration même parmi les hypocrites qui avaient besoin de lui alors qu'ils se moquaient de lui.

Klang gro-Gum avait la possibilité de devenir maître d'armes ou forgeron mais il déclina. Il a néanmoins été promu sergent à un moment donné et a été un ami de la jeune recrue Lycoris Naevius en 2E 576.
En tant que membre de la deuxième Légion, il prend les armes contre l'empereur Leovic suite à la légalisation du culte des Daedra dans l'Empire. 

Le duc Varen Aquilarios couronné empereur, Klang continue de servir un bref moment dans la deuxième Légion avant de se retirer. L'orque estime avoir rendu service au peuple de Cyrodiil comme Cyrodiil a rendu service à Orsinium par le passé.
Travaillant à son propre compte, Klang devient chasseur de primes.

Il retrouve Lycoris Naevius au débarcadère d'Abah au cour de l'année 2E 590. Saluant le parcours de sa jeune camarade dont il a encore souvenir des débuts volontaires mais aussi dépassés.
Klang ne cache pas vouloir mettre sa hache au service de quelqu'un. Ce à quoi l'ancienne légionnaire parvient à lui trouver un travail en la personne de Gryffyn de Ménévie, un bréton de la Maison Telvanni, en 2E 591.

Klang prend très à cœur son nouveau rôle. Derrière son silence et son caractère intimidant, c'est un personnage honorable et respectable. Il est très apprécié de son recruteur qui met en avant son passé de sergent de l'armée impériale lors des présentations. 
J'ignore ce qu'il en sera à terme mais je ne prévois pas d'en faire un personnage bavard lorsque son rôle ne consistera qu'à escorter le bréton ou un autre individu. 

jeudi 20 avril 2023

Guarana-en-poudre

Nom : Guarana-en-poudre
Race : Argonien
Sexe : Homme
Anniversaire : Inconnu
Âge : Inconnu (en 2E 591)
Faction : Indépendant
Métier / archétype : Mercenaire


Guarana-en-poudre est mon tout premier personnage rôleplay de race argonienne. Bien qu'initialement créé en tant que one shot, il y avait la possibilité de le jouer sur le court terme le temps d'un voyage. Mais un changement d'itinéraire le limite finalement à une seule séance, ne voyant rien à faire avec ce personnage sur la durée. Je dois dire que je ne suis pas le plus inspiré pour les betmers, encore moins pour les argoniens. Une idée de joueur des Récits de Gloire a germé tardivement mais l'idée sera reprise pour l'orsimer.

Le jeune Guarana-en-poudre grandit dans la région de Tourbevase. Explorateur assez tôt, les ruines impériales de sa région l'intriguent et il s'intéresse plus tard aux travaux sur l'Histoire de son peuple de Keshu l'Aileron noir. S'établissant à Gidéon vers 2E 582, il entreprend de devenir mercenaire et aventurier pour sortir du Marais noir et découvrir de nouveaux horizons.

Après avoir collaborer avec un groupe de chasseurs de prime de Martelfell, Guarana-en-poudre fait escale au débarcadère d'Abah en Ondepluie 2E 591. Sentant l'appel de l'Hist, il cherche un moyen de regagner le Marais noir.
Un second bréton qu'il rencontre la même journée, l'air plus sympathique que le premier malgré sa ceinture affichant son appartenance à la Maison Telvanni, lui suggère de faire route ensemble lorsqu'il devra regagner Morrowind. Ce que l'argonien accepte sans réfléchir.

Guarana-en-poudre ne prend finalement pas la route avec le bréton de la Maison Telvanni. Il retrouve cependant le chevalier bréton qui l'avait volontairement renverser à dos de monture l'autre jour. Déterminé à en découvre avec ce dernier, l'argonien poursuit son agresseur dans une ruelle avant de finir décapité.

Outre le fait de cocher la case "Argonien", le manque d'inspiration a été flagrant sur ce personnage. Pourtant des suggestions il y en a eu. Le joueur du bréton de la Maison Telvanni a proposé un rôle de serviteur à son personnage. Ce qui aurait été intéressant avec des idées sur le long terme (révolte à la Planète des Singes) mais je suis assez pris par mes autres RP principaux pour le peu de temps où je suis disponible.
Fort heureusement les réseaux sociaux n'existent pas sur Tamriel. D'interagir amicalement avec Guarana-en-poudre aurait causé des soucis au bréton Telvanni. Le bout de chemin prévu initialement n'a finalement pas eu lieu pour ce personnage.
L'absence de volonté réelle de poursuivre avec Guarana-en-poudre a finalement mis un terme à l'existence du personnage. Ne servant finalement, comme le font bien souvent mes personnages one shot, qu'à alimenter des rumeurs ici et là.

dimanche 16 avril 2023

[Larmes] Retrouvailles et colères

Après de longs mois passés loin de la compagnie des Larmes de Stendarr, Gaea se redirige vers Bois noir où Maître Vidron a établi le nouveau quartier général. De retrouver aussitôt le Bois noir n'enchante pas la nibenaise qui a failli y perdre la vie avec sa cousine il y a bientôt un an.

Est-ce la folie qui a frappé Maître Vidron ? Le nouveau quartier général est une forteresse impériale qu'il aurait "volé" selon les dires de Mère Anelaïce. Une immense forteresse avec une cathédrale... La nibenaise progresse dans l'édifice en ne cessant de regarder dans les hauteurs. Les Larmes ont-ils vocation à devenir une armée ? Les prêtresses approuvent-elles ce déménagement ? Il est aussi question d'un orphelinat.


La nibenaise retrouve finalement la prêtresse altmer assise aux côtés de celle qu'elle croit être Aïsha bien que la musculature ne corresponde absolument pas. Les deux femmes sont assises, faisant face à une cascade d'eau couvrant les pas de Gaea.
Se dressant avec droiture, main derrière le dos comme elle avait coutume de le faire à ses débuts dans la compagnie, la nibenaise s'exprime à la fois avec un ton légèrement arrogant/autoritaire mais aussi et surtout cordial comme la femme désormais libre : "Mère Anelaïce". Lorsque la prêtresse se tourne et voit son amie après une longue période, un sourire se dessine sur le regard de l'impériale. Anelaïce étreint sa jeune amie qui lui renvoi les mêmes gestes d'affections.

La femme nordique accompagnant Mère Anelaïce est Fridhilde Portevoix qui n'est autre que la cousine d'Hildeborg. Selon la prêtresse altmer, Hildeborg a décidé de poser son arme et transmet la bonté du Miséricordieux dans les terres nordiques, s'apaisant et se reposant. Elle aurait demandé à Fridhilde d'accompagner les Larmes pour veiller sur ces derniers mais aussi pour son propre bien. Autrement dit "il faut un berger pour les surveiller, sinon elles vont s'noyer au premier cour d'eau qu'elles vont traverser".


Le fort met mal à l'aise aussi bien Gaea qu'Anelaïce. Même si pour Fridhilde le bâtiment présente des avantages. Mais la compagnie n'est jamais à l'abris d'une réquisition d'une des alliances belligérantes si la guerre atteint finalement Bois noir, ce qui inquiète particulièrement la prêtresse.

La première nuit de Gaea dans le fort n'a guère été confortable. Malgré tout les efforts des prêtresses, leur bénédictions finissent par s'estomper tant le lieu est maudit avec toute les morts qui il y a eu. Dans ces conditions, Gaea songe sincèrement à retourner au manoir Sabinian où elle étudie la peinture.


Le jour suivant est celui des retrouvailles. Fridhilde avait déjà une idée du maître de la compagnie, une image brute de décoffrage que lui a transmise sa cousine. Quant à Gaea, elle l'invite à constater d'elle même le personnage sans trop en dire, ne sachant elle même pas si ce dernier a changé.
Bien évidemment, la nibenaise interroge maître Vidron sur sa folie des grandeurs. Ce à quoi le dunmer répond amusé qu'il ne le voyait pas comme ça. Toujours est-il qu'il faut financer les entretiens et que les dons de contributeurs ne suffiront pas... Sans oublier les risques de réquisition des armées si la guerre vient jusqu'au Bois noir.

Mère Anelaïce et sœur Victoire sortent du temple et retrouvent leur camarades sur le parvis du château. Mais la prêtresse altmer, derrière son regard empli de douceur, semble fort mécontente de retrouver le bréton Freyard. Jean-Luc Freyard qui se présente à la troupe en bien mauvais état et avec un sac ensanglanté et puant... 
Le bréton tend son sac qu'il souhaite remettre à la prêtresse pour prouver qu'il a fait des efforts et qu'il s'est racheté. Prétendant avoir été torturé et que le Juste a entendu ses prières, allant même purifier l'abbaye où il fut retenu en captivité.


Mais Mère Anelaïce ne l'entend pas ainsi, en voulant énormément au bréton et remettant en cause sa bravoure. Elle attrape le sac du bout de son bâton et le jette en dehors du fort. Rappelant que la présence de ce dernier n'est du qu'à la présidence de maître Vidron à la tête de la compagnie. La prêtresse lui ordonne également de ne pas approcher Shaehia dont tous connaissent sans doute l'attachement du bréton.
Face à cette situation, Jean-Luc s'emporte. Retirant son armure pour montrer combien il a souffert. S'emportant au fil de ses paroles, allant jusqu'à traiter la prêtresse de sorcière, trouillarde, au cœur de pierre et qui a peur de perdre le contrôle de ses prêtresses. Ce qui suffit à agacer une bonne fois pour toute Anelaïce sous le regard impuissant de Victoire et des autres membres de la compagnie, tandis que maître Vidron songe à vouloir s'échapper pour éviter qu'on lui demande son avis.

Absente lorsque la dispute a commencée, Gaea ne sait trop quoi en penser. Constatant une énième déchirure au sein de sa "famille". Mais alors lorsque maître Vidron dit ne pas se rappeler du pourquoi du comment de cette histoire, cela agace d'autant plus l'assemblée. Il lui est d'ailleurs demandé de tranché sur cette affaire. Mais à chacune de ses paroles, le vieux maître dunmer se tourne discrètement vers Gaea pour lui demander s'il a tenu un bon discours. La nibenaise préfère détourner le regard.


La réponse du maître ne satisfait pas la prêtresse qui renonce à ses responsabilités de bras droit de la compagnie avant de se taire dans le temple accompagnée de Victoire.
Gaea ne sait pas si c'est sur le ton de la plaisanterie ou sérieusement mais maître Vidron lui propose de prendre la relève. Depuis l'affaire de l'Etoile, Gaea n'a plus les épaules et les mêmes capacités de direction. Elle décline avant de s'en aller rejoindre Anelaïce avec Fridhilde, laissant Jean-Luc et Braynas seuls.

La nibenaise n'ose s'exprimer. Entre Jean-Luc d'un côté et le vieux maître devenu sénile, même s'il a reconnu avoir bien tenu le fort en l'absence de tous, la prêtresse songe certainement à quitter la compagnie. Mais loin de ces deux là et entourée de personnes qu'elle apprécie, Anelaïce semble plus calme... Du moins jusqu'à ce que le bréton ne se décide à pénétrer le temple pour prier, tel est son droit. 
La nibenaise pense surtout que le moment est mal venu et ne peut que constater la prêtresse se tendre à nouveau et lancer un sort sur le bréton avant de se faire exclure du temple.


Anelaïce a peut-être abandonnée ses responsabilités de seconde de la compagnie mais elle reste consciente qu'il y a des choses à faire dans la région. Gaea rappelle qu'elle peut compter sur les autres et qu'après de multiples crises et épreuves, les Larmes sont toujours restées unies. La nibenaise lui évoque notamment la proposition que lui a faite maître Vidron, ce à quoi l'altmer répond que si elle devait prendre la relève le bréton serait exclu. Elle a probablement été touchée lorsque le bréton a pointé du doigt sa nature de sorcière. Mais elle est loin d'être la seule à avoir de sombres pratiques.. Rien que Gaea est une nécromancienne, quant à Uazu n'en parlons pas.

C'est donc dans un état d'esprit apaisé que les quatre femmes se souhaitent la bonne nuit. Lorsqu'il faudra agir, les Larmes le feront. Uazu n'est toujours pas revenue et Gaea prévient ses camarades qu'elle ne pourra pas se rendre disponible sur chaque déplacements du fait de son état fragile depuis l'affaire Naevius.

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Je n'ai moi-même pas le moindre idée de ce qui a pu se passer entre Mère Anelaïce et sieur Freyard. J'ai pensé, comme maître Vidron, que le bréton a touché à la jeune Shaehia mais je doute que ce soit ça. 
Si sur le moment j'ai cru à une dissolution de la compagnie, j'ai bien peur que nous nous en rapprochions dangereusement si une telle situation de crise se répète une nouvelle fois. L'existence de cette compagnie encore aujourd'hui relève d'un miracle.

                                                                                                          - Gaea

samedi 15 avril 2023

Umarabaradro

Nom : Umarabaradro
Race : Khajiit
Sexe : Homme
Anniversaire : Inconnu
Âge : Inconnu (en 2E 591)
Faction : Indépendant
Métier / archétype : Mercenaire


Umarabaradro est mon premier personnage rôleplay de race khajiit. Après lui, je prévois de jouer un argonien et un orsimer en tant que personnages one shot dans le seul but d'avoir jouer au moins une fois toute les races jouables du jeu. 
Je ne suis pas un grand fan des betmers mais je dois dire que le look général d'Umarabaradro est si bien que je regrette qu'il ne soit qu'un personnage one shot. J'ai joué le personnage sans aucune préparation et après une absence en jeu de presque deux mois. Et autant dire que j'étais en roue libre sur ce personnage fort détestable.

Umarabaradro est un vieux mercenaire Khajiit qui s'estime à la retraite, prenant enfin du temps pour lui. Il ne cache néanmoins pas sa piètre opinion du Domaine Aldmeri qui uni les altmers, les bosmers et les khajiits. En effet, Umarabaradro n'aime absolument pas les bosmers qu'il avait pour habitude de massacrer lors des guerres sanglantes dans la marche de la Camarde. Il hérite par ailleurs du surnom de "vampire", ayant pour coutume de mordre à mort le cou de ses victimes.
Le khajiit n'apprécie par ailleurs pas que le Domaine vienne imposé ses lois et surtout que sa dirigeante soit une adolescente. 

Préférant agir pour son propre compte plutôt que d'intégrer l'armée du Domaine Aldmeri, Umarabaradro se lance dans le mercenariat. Privilégiant encore et toujours le massacre de bosmers quelque soit le prix qu'il peut en tirer. Il collabore d'ailleurs avec la Légion puis la milice colovienne pour leur remettre des "supposés espions du Domaine". 

Maintenant à le retraite et conseillé par des amis, Umarabaradro se rend au débarcadère d'Abah pour y contempler les beautés exotiques qu'a à offrir la cité. Il y fait la rencontre d'un bréton qu'il décide d'emmerder. Fixant d'abord longuement ses bottes puis son visage pour attirer l'attention du principal concerné qui fait mine de l'ignorer.

Lorsque le bréton fait enfin mine de lui répondre, le khajiit le complimente sur son physique attrape femmes. Devinant qu'il est un coureur de jupon à succès et que sa présence en cette cité n'y verrait aucune autre justification que celle-ci. 
Le bréton est flatté mais ne tarde pas à déchanté. Umarabaradro voulant enchaîner avec une "discussion sérieuse". Commençant à critiquer son physique de sale gueule et qu'il ne peut pas le blairer une seule seconde.

Toujours dans la provocation, le khajiit interpelle ensuite la dame rougegarde qui s'était identifiée comme une dame de cour au bréton un peu plus tôt. Finissant de s'entretenir avec un faussaire orsimer, le khajiit lui demande si la "dame des catins a trouvé une nouvelle affaire juteuse" mais n'obtiendra évidemment aucune réponse.
L'orsimer ayant terminé ses affaires avec la dame, il s'installe aux côtés de son "nouvel ami" khajiit. Autant dire que le bréton et la dame rougegarde étaient assis à côté de deux tarés. Umarabaradro applaudissant l'éducation de l'orsimer, se sentant inspiré par certaines idées macabres que lui donne son nouvel ami.

Il fait plus tard la rencontre d'un chevalier bréton qui lui fait une offre pour éliminer une impériale qui ne cesse de l'harceler. Ne cherchant pas à connaître les détails de la "généreuse offre", Umarabaradro s'exécute dans l'idée de recevoir un petit bonus pour sa retraite.
Persuadé que le bréton qu'il a rencontré l'autre jour à la taverne saura le renseigner, il se met à sa recherche. Ceci fait, le khajiit est forcé de constater qu'il n'obtiendra aucune aide de celui qu'il qualifie d'attrape-femmes. Il se met en colère lorsqu'il apprend de ce dernier que l'impériale en question est une amie. Ce dernier lui fait par ailleurs une contre-offre pour qu'il se joigne à lui, ce que le khajiit prend pour une plaisanterie de mauvais gout.

Alors que le khajiit quitte la taverne en menaçant de parvenir à ses fins, le bréton incante un sort pour garder un œil sur les faits est gestes du betmer. Mais le sort échoue et se met à répandre un feu sur toute la fourrure d'Umarabaradro. Ce dernier décède dans une impressionnante panache de fumée.

En roue libre oui. Mais le plus amusant était avant tout de parler à la troisième personne tel que le font la majorité des Khajiits. Dans TESO, les Khajiits parlent d'eux à la troisième personne mais en mentionnant leur nom. J'ai privilégié le dialecte Khajiit de TES V où ces derniers s'expriment toujours par un "Le Khajiit..." pour exprimer quelque chose. Ca et le fameux ", oui ?" à la fin de la plupart de leur phrases.
Ce personnage a un potentiel mais n'étant pas des plus inspiré pour les betmers, il n'est qu'un personnage one shot ayant servi à mettre la mauvaise ambiance tout en gardant un ton neutre agaçant. Le personnage a droit à une seconde apparition où il évoque son passé plus en détail et se montre plus menaçant vu les circonstances. Ce sera son ultime apparition puisqu'il meurt à l'issue de cette séance.