dimanche 5 novembre 2023

[Larmes] Uazu ?

En chemin pour Elsweyr, Siegfrid, Fridhilde et Uazu découvrent au loin leur camarades se faisant attaquer par des squelettes. Le procédé est similaire à l'attaque du camp l'autre soir.
Shaehia, en retrait, est collée dos contre une roche pour éviter de se faire surprendre. La rougegarde reste cachée pendant que Braynas affronte à coup d'éclairs un esprit venu en éclaireur.
Llevana reste cachée, attendant le déclenchement des pièges pour attaquer par surprise les ennemis. Il en va de même pour Kas' qui jette des pierres afin d'attirer quelques squelettes vers des pièges ici et là. 
Tétanisé, Jean-Luc prie Stendarr. Lorsqu'il s'élance enfin, il est projeté contre une paroi rocheuse. Témoin de la scène, Shaehia ne sort pas de son abris pour l'aider.

Taillade au torse, chemise ouverte, Jean-Luc est malmené. Il voit sa vie défilé dans ses yeux, finissant par s'évanouir tandis qu'une lame lui tranche la main. 
Prenant leur courage à deux mains, Shaehia enfonce un premier squelette avec sa lame et Llevana incante une boule de feu qui désintègre une de ses cibles. La rougegarde vient ensuite s'occuper du bréton pour lui envelopper sa plaie.
C'est alors que Siegfrid, à dos de monture, charge les squelettes restants avec Fridhilde pour aider leur camarades. Uazu quant à elle, part à la recherche des lanceurs de sorts pour leur "arracher la gueule et ramener leur tête à Victoire".


A l'issu de cet affrontement, les Larmes déplorent deux blessés graves en les personnes de maître Vidron dont sa lame d'argent a été brisée ainsi que Jean-Luc qui a perdu une main. Kas' est de retour sans le phylactère. Shaehia et Uazu ont disparues.
Sans Anelaïce, Victoire et Shaehia, les soins dont ont si besoin les blessés graves sont indisponibles.
Uazu s'est perdue dans la pénombre du bois, traquant toujours plus loin les lanceurs de sorts. Elle ne lâche pas l'affaire et a bien trop confiance en ses capacités à se fondre dans la nature. C'est là son erreur.

Se retrouvant au beau milieu de collines et de vallons qui ne l'aident pas à se repérer, la crevassaise décide de se replier derrière un rocher pour ne pas être vue de ses adversaires.
Mais il est trop tard. Deux nécromanciens l'ont vus et relèvent d'autres squelettes. Sur le coup, la crevassaise se dit qu'ils sont infatigables pour jeter autant de sorts.
Voulant prendre de la hauteur pour avoir un avantage, une nécromancienne se dresse derrière elle, la surprenant.
Uazu tente de la poignarder sans succès puis se fait attraper à la gorge puis soulever. Dans un geste désespéré, la crevassaise tente de lui donner un coup de pied aux ovaires mais sa frappe est terriblement molle. Elle perd finalement connaissance tandis que la nécromancienne se dit qu'elle lui sera très utile pour la suite des événements.


Au même moment, Gaea décide de regagner le fort des Larmes. 
Mais sur place et aux alentours, elle ne constate qu'un paysage de dévastation. Les lieux ont été inondés et nombreuses sont les victimes animales, civiles... Que s'est-il passé ?
Se dirigeant vers le hameau à proximité du fort, la nibenaise constate encore la même dévastation. Mais ici, des nécromanciens récoltent les âmes des villageois ayant été victimes de l'inondation. Elle observe ces nécromanciens, ressentant du dégout sans toutefois être choquée ou affectée de par son vécu.
Une femme l'observe et se dirige vers elle, la saluant.

Cette femme est Sœur Margaux, une prêtresse d'Akatosh au Temple de Leyawiin. Ses camarades nécromanciens sont des nobles et des érudits.
Lorsque Gaea demande des explications, Sœur Margaux lui révèle que les occupants du fort ont levé une vague géante qui a déferlé sur la région.
A l'origine, elle est venue amicalement pour demander à ce qu'on lui restitue un phylactère. Mais les Larmes ont refusé, allant jusqu'à invoquer cette vague meurtrière qui a touché la population du hameau.
La nécromancienne semble surprise par la sagesse de l'impériale, se demandant d'ailleurs si elle n'a pas à faire à une consœur.


Gaea ne répond pas. Voulant simplement savoir quel est ce phylactère et où sont passé ces "criminels" ayant fuit le fort. Voulant d'abord s'assurer qu'il s'agisse bien des Larmes, ce que lui confirme Sœur Margaux en décrivant la plupart d'entre eux.
La nibenaise est d'abord dubitative. Refuser puis inonder les lieux ? Difficile de croire cette version des faits venant de nécromanciens. Et pourtant c'est bien la vérité et Gaea entend les paroles honnêtes de la prêtresse d'Akatosh.
Pour Sœur Margaux, le phylactère est un moyen formidable d'étudier le sujet sans ôter la moindre vie. Regrettant ses confrères guérisseurs et leur moyens limités. Elle est persuadée qu'une meilleure connaissance de la nécromancie permettrait de sauver bien des vies et purger des corruptions.

La nibenaise comprend que Sœur Victoire est celle qui a catégoriquement rejetée l'offre et toute mains tendues. Demandant par ailleurs si une prêtresse plus âgée était dans le groupe. 
N'était-il pas plus judicieux de négocier avec une personne plus expérimentée ? Venir négocier avec une panoplie de nécromanciens n'était-il pas une erreur ?
Au-delà de l'approche que Gaea qualifie de ratée, elle reconnaît que ces nécromanciens ont une cause louable. Mais prudence, elle les met en garde. A force de vouloir réaliser de plus en plus de choses, ne pas s'égarer en chemin alors que la quête de départ était noble.
Gaea demande à Sœur Margaux si ses nécromanciens ont toujours besoin du phylactère au vu des morts dans le hameau que leur ont laissé les "occupants du fort". La prêtresse avoue ne plus en avoir vraiment l'utilité.
Vers l'ouest donc. Quant à Victoire, elle s'est rendue au Temple de Leyawiin.
Gaea se rend donc au Temple de Leyawiin où un prêtre lui confie avoir entendu la prêtresse et des individus venus la chercher voulant aller à Elsweyr. Ils ont été attaqués en sortant du Temple mais aucun de leur cadavre n'ayant été retrouver sur le parvis, ils ont pu fuir.
Après un saut à la taverne de la Hallebarde grise, la nibenaise se met ainsi en route pour retrouver ses amis à Elsweyr.

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