Les Larmes sortent victorieuses de leur confrontation face aux raids squelettiques, ce dont semble assez fière Llevana. Mais non sans plus de blessures comme le fait remarqué maître Vidron derrière.
Mère Anelaïce de son côté interroge ses camarades : où sont passé Kas', Shaehia et Uazu ? Jean-Luc aussi est absent mais elle ne le relève pas.
Victoire rassure la prêtresse pour sa sœur, Kas' est partie à la recherche de son initiée et d'Uazu. En effet, les deux semblent avoir disparues depuis un moment.
Fridhilde se tourne donc vers maître Vidron pour connaître la suite des événements. Toutefois, le vieux dunmer "doute pour les prochaines actions" de la compagnie, ce qui suffit à agacer la nordique.
Devant la réponse du maître de la compagnie, la nordique s'exclame qu'il faut retrouver leurs compagnons en rebroussant chemin. Kas' doit avoir des aptitudes de chasse, mais autant l'aider. Llevana imagine sur le coup la bosmer reniflant avec son nez pour remonter la piste.
Tandis que le groupe débat sur les techniques de pistage de Kas', la principale intéressée est de retour avec Shaehia qui porte assistance à une Uazu peinant à se mouvoir seule, laissant visible sa brulure au dessus de sa hanche.
A leur vu, Victoire se précipite vers ses amies et prend connaissance de la blessure de la crevassaise. Shaehia prévient qu'Uazu a été touchée par un glyphe, une malédiction du Ver, le risque étant qu'elle ne soit pas complètement elle-même.
Et c'est peu dire, Uazu est énervée et en veut à chaque nécromanciens pouvant exister. Elle s'allonge au pied d'un arbre sur la recommandation de Sœur Victoire pour se reposer et permettre aux prêtresses d'analyser sa brûlure.
Victoire n'ayant pas de connaissances poussées en la matière, elle espère qu'une bénédiction de Stendarr pourra contenir le glyphe quelques heures. Laissant Llevana observer ensuite, elle qui semble avoir déjà eu à faire avec des nécromanciens par le passé.
Uazu continue d'être dans le déni. Elle pense que cette brûlure n'est qu'une simple brûlure. Mais elle repense à ce que sa co-détenue a dit à Shaehia. La rougegarde explique à ses camarades que les nécromanciens ont l'intention de se servir d'Uazu en la contrôlant grâce à cette rune. En entendant son amie résumant la situation, le regard de la sauvageonne se fige, elle est peinée et se sent mal.
Certain plaisantant avec l'idée qu'il faudrait amputer leur amie crevassaise, Fridhilde estime qu'il faut trouver un temple d'urgence.
Anelaïce peut s'en occuper. Elle a toutefois besoin de temps et d'un endroit sécurisé à l'abris des nécromanciens. L'auberge de la Hallebarde grise devrait faire l'affaire.
Mais si ce glyphe sert à géolocaliser les Larmes comme le laisse entendre Llevana, mieux vaut être loin d'innocents.
Shaehia révèle qu'elles ont été aider par une nécromancienne. Ces mêmes nécromanciens pour qui Kas' a remis le phylactère pour sauver cette petite bande d'enfants agités. Ce qui perturbe la rougegarde qui, défaitiste, pense que c'est peut-être la fin des Larmes vu les manquements aux devoirs dont la compagnie fait l'objet.
Uazu est toutefois vindicative, se laissant aller à la haine et estimant qu'aucun nécromancien n'est bon, ni le sera. Ils commettent des crimes, jouent avec les âmes défuntes. Si on ne les tue pas, autant qu'ils vivent seuls, exilés de tous, en repensant à chacune de leur victimes.
Devant le marasme d'Uazu, Anelaïce lui rappelle que la haine n'apporte rien. La prêtresse lui demande si elle regarde encore de temps en temps cette étoile dans les cieux, celui de ses parents. Ce qui suffit à radoucir la jeune crevassaise qui a peur, très peur pour la suite. Elle espérait que Kaï soit là sur le moment, à ses côtés elle aussi, pour se convaincre qu'elle n'est pas comme les autres. Mais son absence la fait douter un peu plus.
Tandis qu'Anelaïce demande à Uazu qui dans la compagnie lui a mis des idées si extrêmes, sombres et négatifs sur les nécromanciens, Victoire suggère à sa Mère que le groupe ne traîne pas plus longtemps dans les bois. Les nécromanciens ont surement remarquer que Shaehia et Uazu manquent à l'appel.
La prêtresse termine en remettant une potion à sa jeune amie sauvage, afin de soulager sa douleur si elle se manifeste d'une quelconque manière qui soit.
Kas' se propose de porter Uazu pour le voyage, suscitant le rire de Fridhilde qui estime être la plus à même de porter la crevassaise. L'elfe des bois est trop petite et légère, même si elle se défend qu'il y a des muscles au dessus de son cœur.
La bosmer demande à "la Montagne" si elle n'est pas épuisée comme les autres. Ce à quoi la nordique répond que Siegfrid l'a remise d'aplomb l'autre nuit, mettant en valeur son doigté.
Kas' arque un sourcil, observant ensuite le chevalier qui lui fait signe : "ce n'est pas ce que tu crois". La nordique rassure qu'il n'y a rien eu d'intime entre eux.
Fridhilde soulève Uazu tel une mariée. Le groupe repart mais avec une incertitude : les nécromanciens sont surement sur leur trace.






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