Du côté du groupe chargé d'amener la relique à Elsweyr, tous trouvent finalement refuge dans une caverne. Les plus blessés ont trouvé du réconfort avec une potion de soin, avant de réfléchir à une nouvelle tactique.
Pour mieux se dissimuler dans la pénombre, Jean-Luc a eu l'idée de se recouvrir le visage de boue. Le bréton a par la suite proposé l'idée à ses camarades Braynas, Llevana et Shaehia. Constatant finalement qu'ils n'en avaient pas besoin.
Un groupe de nécromanciens les approchants, Kas' décide de les attirer avec le phylactère après avoir au préalable piégé les lieux.
Le groupe revenant avec Victoire se dirige tout d'abord vers la taverne de la Hallebarde grise afin que Fridhilde et Uazu y récupèrent leurs affaires.
Mais une fois sur place, une femme semble les attendre à l'entrée. Cette femme, non vêtue d'une robe noire cette fois-ci, n'est autre que la nécromancienne défigurée qui avait ouvert les négociations au fort. Uazu l'identifie comme "c'est tête-fondue".
La nécromancienne se présente comme étant Sœur Margaux, portant d'ailleurs une robe civile et un symbole sacré d'Akatosh. Suscitant donc des interrogations.
Est-elle réellement une prêtresse des Divins ou est-ce un stratagème ? Elle semble néanmoins ravie de voir les Larmes encore en vie mais les prévient : ce n'est qu'une question de temps avant que les autres n'essuient une attaque.
Uazu la fusille de questions : que veut-elle ? Renégocier ?
La crevassaise ne s'en fait pas du tout pour ses camarades puisque "Kas' est avec eux" ainsi que les gros-bras de la compagnie. Sauf peut-être pour "monsieur clic-clac", parlant de Jean-Luc en faisant référence aux bruits de son armure lorsqu'il se déplace.
Sœur Margaux étudie la nécromancie pour répondre à des besoins louables sans en dire plus. Elle prévient également d'une scission dans son groupe : car des nécromanciens du Ver ont intégré leur rangs sans le savoir. Et c'est ceux là les ennemis à la fois des siens et des Larmes.
Au départ, Fridhilde et Uazu avaient un doute. Quel groupe connaît une dissension ? Car à vrai dire, même les Larmes donnent ce sentiment de dissension par moment.
Malgré la main tendue de Sœur Margaux, Victoire la rejette catégoriquement. "Ceux qui touchent ou ont touché à cette magie impie doivent être remis aux autorités ou purgés".
Fridhilde pense quant à elle que la nécromancienne souhaite simplement gagner du galon en l'aidant à éliminer ses supérieurs.
Avant de se retirer face à des Larmes bornées, Sœur Margaux prévient que deux nécromanciens en particulier les menacent et qu'il faut les éliminés : Vaeneria, une altmer et Rogath, un rougegarde.
Uazu regrette le silence de Mère Anelaïce. Ressentant le besoin d'entendre la voix de la raison face à l'extrémisme de Sœur Victoire qui font de plus en plus écho en elle depuis les retrouvailles.
"Et Kaï ?". A entendre la brétonne, Gaea est une monstre. Uazu se le demande mais qui se souvient que Gaea, pourtant une Larme, est une nécromancienne ? Cela la perturbe intérieurement, elle qui est si proche de sa "super pote" nibenaise.
Plutôt que de bénéficier du confort d'un lit une nuit de plus, le groupe continue sa route et établi un camp dans les bois.
En pleine nuit, deux nécromanciens invoquent chacun cinq squelettes et les envoient sur le camp.
D'abord terrorisée en croyant avoir vu des Hommes-poissons, Uazu décide de prendre son courage à deux mains et d'aider ses camarades à lutter contre la menace les approchants.
Ce sont des squelettes. Ce sont les nécromanciens... Les paroles extrêmes de Victoire raisonnent en elle. Un peu plus encore tandis que la brétonne se réveille avec les autres pour défendre le camp tout en poursuivant son discours vindicatif.
Manquant sa cible, Uazu lâche son arc et se saisit d'un poignard qu'elle enfonce avec brio sur l'un des squelettes.
A la simple vue de ces tas d'os dont l'intention est de la tuer elle et ses amis, la crevassaise est intérieurement terrorisée. Quoiqu'elle semble finalement énervée et contrariée. Cette rage lui a permise de contre-attaquer avec sa dague. Elle s'exclame alors qu'il y a surement un ou des lanceurs de sorts non loin.
Avant d'être touché par l'un de ces immondices, sieur Siegfried a invoqué une lumière divine purificatrice ayant purgé un tiers des squelettes. Fridhilde quant à elle plante sa lame au sol pour invoquer un bouclier protecteur puis vient en aide au bréton avec un balayage vertical dont elle a le secret, puis enchaîne une puissante frappe horizontale sur le dernier des squelettes.
Victoire use de son bouclier et de sa lame pour frapper l'adversaire. Puis elle se met à courir hors du camp pour tenter d'attraper et éliminer le ou les nécromanciens se trouvant dans la jungle. Demandant au passage à Uazu de la couvrir. La crevassaise hoche de la tête et la suit à distance.
Devant cette scène, Anelaïce demande à Fridhilde de les rattraper en vitesse. Quelle folie à frapper Victoire ?
Une explosion laisse craindre le pire mais tout va bien, Victoire est sauve. Elle n'a pas pu voir le visage des deux nécromanciens en raison du manque de luminosité.
La brétonne semble contrariée mais l'heure est au repos. Pour elle, les nécromanciens sont tous les mêmes et aucun n'est inoffensif.
Uazu semble marquée par cette attaque. Quelque chose en elle a changé. Pour le bien ou le pire ? Une chose est sure, elle semble maintenant rejeter la nécromancie en bloc à l'image de Victoire. Pensant notamment à sa "super pote" Gaea le poing serré. Elle s'interroge "pourquoi Kaï n'est jamais avec nous quant ces choses arrivent ?".








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