Le capitaine Dalmeril s'est rendu à Leyawiin dans le Bois noir afin de trouver et remettre la lettre de l'accusé Tobias à cette dame Anelaïce pour qui il exprime un attachement profond.
Il reçoit dans la foulée une demande d'entretiens du juge Persidion Juror afin qu'il prenne connaissance du résultat de l'interrogatoire, la progression de l'enquête et de potentiels nouvelles informations.
Sa mission accomplie, le capitaine altmer regagne le Couchant afin d'y rencontrer le juge Juror dans son bureau.
Après des échanges de courtoisie, le capitaine Dalmeril explique que l'accusé Tobias a accepté de répondre à ses questions. Révélant une personne plutôt loquace quoiqu'extravagant.
La substance non identifiée est toujours en cour d'identification. Néanmoins, l'accusé Tobias l'appelle le "Fromage de Mammouth" et révèle qu'il en est le seul fabricant. Une substance qui n'a pas seulement des capacités désinhibitrices et aphrodisiaques, mais qui serait le secret de son étonnante longévité.
Le juge demande s'il a creusé sur le sujet d'une éventuelle vente ou revente de drogues, une chose figurant sur le rapport de Thromire mais sans plus de précision.
Dalmeril confirme. Sans le cacher, l'accusé Tobias a révélé qu'il a déjà vendu cette substance à des personnes peu recommandables notamment auprès de la guilde des voleurs à des fins "philanthropiques".
Voilà que le juge arque un sourcil. Aider des criminels ? Le capitaine lui-même était sceptique et lui a demandé pourquoi ne pas fournir des personnes réellement dans le besoin tel que des enfants mourants. Mais l'accusé Tobias estime que ça aurait trop attiré l'attention et que nul ne se soucie de "ces pauvres ères qualifiés de voleurs". Dalmeril en déduit que le vieil elfe pensait sincèrement faire une bonne action.
Revenant sur le "Fromage de Mammouth", Persidion demande au capitaine s'il a creusé sur l'emplacement où l'accusé Tobias fabrique cette substance. Et effectivement, le capitaine a obtenu la promesse de l'accusé Tobias que ce dernier lui révélerait l'emplacement de son entrepôt : là où il stocke tout son matériel. Dalmeril espérant toutefois qu'il n'ait pas été emmener en bateau.
Le juge Juror est sceptique : l'accusé Tobias révélerait comme ça, sans rien demander en retour, l'emplacement de son entrepôt ? Et effectivement, le capitaine révèle qu'il n'a obtenu cette promesse que s'il remet une lettre à une dénommée dame Anelaïce. La fameuse lettre qui figurait parmi les objets trouvés sur l'accusé Tobias lors de sa capture.
Le capitaine Dalmeril a pris le soin de faire une copie de la dite lettre. En profitant aussi pour faire des recherches sur la dite dame Anelaïce, ne trouvant finalement rien d'intéressant à son sujet si ce n'est qu'elle a rejoint le continent il y a environ 140 ans.
Le juge Juror veut en savoir plus sur cette dame Anelaïce pour qui l'accusé éprouve des sentiments. Comment a t'elle réagit ?
Le capitaine Dalmeril s'est vu remettre une lettre que lui a remise la dite dame. Une lettre que le juge Juror l'invite à lire devant lui.
Le juge tout comme le capitaine ne s'attendaient pas à une telle coopération de la part d'une personne pour qui l'accusé a des sentiments. Juror se demande même si leurs sentiments sont réciproques.
Mais s'il est une chose qui préoccupe le juge, c'est l'existence d'un témoignage de dame Anelaïce et de l'ancien apprenti de l'accusé, Alban, qui a été remise aux autorités aldmeris il y a huit mois.. Un témoignage qui a disparu et n'a jamais été mis à la connaissance des enquêteurs.
L'existence de ce témoignage contrarie le capitaine qui se voit invité à employer tout les moyens nécessaires pour le retrouver. Une perte qui fait tache pour l'institution juridique aldmeri.
Il reste une question à aborder : les Baandari et les objets mythiques volés. Un sujet qui a provoqué une immense controverse au moment des faits, cristallisant les relations diplomatiques entre le Domaine Aldmeri et le royaume occidental de Bordeciel.
Malheureusement, le capitaine n'a pas pu s'entretenir avec la caravane Baandari concernée dans l'affaire. Néanmoins, ces derniers se présenteront au procès pour témoigner.
Dalmeril révèle que l'accusé Tobias a livré des informations au sujet d'une transaction qu'il prétend avoir eu avec ces derniers. Leur confiant un "Œil de l'Antiquaire" et leur demandant d'emmener l'artefact à Solitude.
Voilà qui rappelle une autre affaire de biens aldmeris volées classée sans suite. Y a t'il un rapport ?
Toujours est-il que de leur côté, les Baandaris accusent Tobias d'escroquerie. Ce qui interroge le juge qui n'a pas connaissance d'une escroquerie mais d'une affaire de contrebande vis à vis des objets mythiques.
Les deux parties sont surement impliquées et coupables mais seul les témoignages pourront faire pencher la balance comme le fait remarqué le capitaine.
Le capitaine termine sur une histoire de Parchemin des Anciens. Sur le coup, le juge Juror se demande dans quelle affaire il se retrouve embarqué.
L'accusé Tobias prétendrait qu'il la prise dans un temple de la Phalène ancestrale pour le sauver d'adeptes daedriques. Mais personne ne peut témoigner en sa faveur, les principaux témoins étant "mort avec l'âge". Cet événement est bien trop ancien et Dalmeril pense plutôt que l'accusé à volé le parchemin.
Aucune idée de ce qu'est devenu ce parchemin en revanche, l'accusé Tobias n'en ayant pas parler. Peut-être se trouve t'il dans son entrepôt ?
Le juge Juror salue le travail du capitaine Dalmeril. L'invitant à la prudence lorsqu'il enquêtera à Solitude pour l'artefact.
Pour l'heure, Juror demande au capitaine de faire appelle à sa personne la prochaine fois qu'il interrogera l'accusé Tobias afin de pouvoir l'entendre et guider les enquêteurs dans leurs questions.
Le juge compte également sur Dalmeril pour qu'il représente le Domaine et présente l'affaire lorsqu'il sera invité à le faire.




















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