Cette première nuit dans le Sucrier Nibenais n'a pas forcement été agréable pour l'ensemble des Larmes. Certains auront bien dormi, d'autres n'y sont pas parvenu à cause des histoires de disparitions ou de fantômes. Finalement, la nuit aura été particulièrement calme.
Briof qui ne parvenait pas à dormir a terminé sa nuit seul au bar. Prétextant avoir vu du monde mais ce devait être sous l'effet de l'alcool. Le nordique est rejoint par la prêtresse Llevana avec qui il décide de faire un tour des lieux. Le silence et l'obscurité qui règnent ajoutent un peu plus d'anxiété au groupe.
En fouillant l'étage, Llevana trouve le même livre que Braynas la veille : celui des étranges tableaux. Trouvaille dont elle fera part ensuite à Anelaïce. La prêtresse trouvera par ailleurs étrange, sans doute par paranoïa, que le bureau du propriétaire ait une vue sur l'entrée. Se demandant s'ils étaient observés tout ce temps. Briof a cherché un passage secret, manquant de casser une défense animale en pensant que c'était la clé pour ouvrir un quelconque mur.
Pourtant d'un calme assourdissant, le Sucrier Nibenais voit l'arrivé de deux nouveaux clients : un nordique et un khajiit respectivement Gromjolf et Virr-Shinji. Des clients qui connaissent bien les Larmes de Stendarr et qui en profitent pour intégrer la compagnie. Ce qu'un Braynas extrêmement laxiste accepte, voulant juger les recrues par leurs actes.
Si Shaehia confesse avoir bien dormie, elle semble affolée par cette histoire de lieu hanté. Elle-même ayant pris la chambre voisine à la chambre maudite.
Les Larmes sont hésitant à intervenir dans l'auberge, Anelaïce ne voyant aucune raison d'agir sur une âme en peine quitte à aggraver la situation.
Pendant que les Larmes débattent de la pertinence de purifier l'auberge, une mercenaire nibenaise fait irruption à l'accueil. En l'absence du tenancier, l'impériale grimpe sur le comptoir pour voir si ce dernier n'est pas accroupi derrière. Elle est surprise par Braynas Vidron qui l'identifie comme étant la contacte désignée dans la lettre : Aïsha.
Lorsque le vieux dunmer lui annonce que sa compagnie est prête à secourir Kaïa, la mercenaire s'étonne que les Larmes soient au courant de la disparition de leur camarade. Lui rappelant en effet qu'à l'origine, Kaïa a fait appel aux Larmes de Stendarr pour l'aider à résoudre une affaire. La disparition de la nibenaise n'est survenue qu'après l'envoie de la lettre.
Bien à sa manière, Aïsha se présente aux Larmes. Pointant du doigts chacune des Larmes en les nommant de tête. Et comme il y a de nombreux visages nouveaux, elle ne se prive pas d'enchaîner les "toi, j'te connais pas". Tellement de monde qu'elle a l'impression que les Larmes de Stendarr sont en réalité une garnison.
La mercenaire nibenaise guide ensuite la compagnie vers le Domaine Naevius de Nibenay. Précisant bien que cette famille est actuellement divisée en deux branches distinctes.
Le domaine en lui même est assez chic. Mais le paysage environnant et le calme qu'il inspire sont d'avantage du gout de certaines Larmes. Shaehia aura déjà été distraite par l'écurie.
Aïsha pénètre le bâtiment et s'y faufile comme si c'était chez elle, prenant le soin de préciser que ce n'est pas le cas. Elle invite les Larmes à accéder dans la salle de réception.
L'ancien capitaine Jean-Luc se montre particulièrement en alerte. Sans doute l'ancien soldat en lui. Très observateur, il guette les toits à la recherche du moindre piège. Invitant Aïsha a passé devant lui, ce que la mercenaire hippie prendra pour de la galanterie de chevalier.
Pendant que la nibenaise s'invite dans la cuisine pour chercher un plateau, certaines Larmes s'invitent dans la salle à manger. Ce qui a le don d'agacer les prêtresses et le nordique sur les manières de faire de leurs camarades.
C'est alors que Lycoris fait irruption dans la salle. L'ancienne capitaine de la Légion impériale invite les Larmes dans la réception à rejoindre les autres ayant pris leur avance. La colovienne ne manque pas de saluer chaleureusement l'initiée Shaehia et la prêtresse Victoire. Elle remarque aussi le retour en forme de la prêtresse Anelaïce, ce qui ne manque pas de la rendre heureuse.
En la présence des Larmes de Stendarr, Lycoris ne cache pas son inconfort. En bout de table dans un manoir plutôt luxueux, tout ceci ne lui ressemble pas. Leur apprenant qu'elle n'est elle même qu'une invité en ces lieux appartenant au patriarche Pausenius Naevius actuellement occupé.
Après de brefs présentations, Lycoris expose la situation à la compagnie. La colovienne parle ainsi du retour de Gaea lors de l'ancienne vie et de son constat de la tombe de sa sœur profanée. Elle partage les craintes de la nibenaise quant à l'implication d'une secte appelée l'Etoile.
En entendant les paroles de Lycoris, certaines Larmes pensent qu'il s'agit possiblement d'une secte liée à Azura. La colovienne pense toutefois à une origine occidentale mais difficile à dire puisqu'elle n'a pu apercevoir la secte qu'avec un "maquillage impérial".
L'ancienne légionnaire évoque notamment le cas Demeter, la sœur de Gaea. Leur décrivant la personne avant et après sa nomination au titre de matriarche il y a quelques années. La sœur de Gaea était une personne douce, gentille, attentionnée et protectrice endossant le rôle de grande-sœur ou de mère. Mais son regard aurait changé en quelque chose de malicieux et au regard sournois.
Lycoris ne cache pas ses craintes quant aux autres Naevius, évoquant Gaea comme étant la seule personne qu'elle estime dans sa famille bien qu'elle ne soit pas réellement et biologiquement une Naevius. La colovienne craint que les Larmes soient hostiles à leur camarade en révélant que Gaea a elle même tuer sa sœur il y a deux ans. Ce qu'elle leur révélera pourtant pour jouer la transparence sans en dire plus. Elle insistera sur les paroles de Gaea lorsqu'elle se tenait aux côtés de Demeter dans ses derniers instants : "elle était redevenue elle même, comme libérée mais le mal était fait".
Malgré le confort du manoir, les Larmes sont épuisés. Lycoris les invite alors à monter aux chambres, ce qu'aurait fait Gaea pour ses amis.
En montant aux étages, les Larmes seront tombé nez à nez avec le portrait de Demeter. Portrait auquel tient beaucoup Gaea malgré que l'œuvre a été peinte alors que sa sœur n'était plus elle-même.
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