Mère Anelaïce ne ménage pas ses efforts. Outre le poids du dilemme concernant son clan, elle doit supporter les enfantillages de ses camarades du Cercle. Pire encore concernant les attaques personnelles portées par Llevana sur l'argonien.
Une nouvelle sortie, nocturne cette fois-ci, de la prêtresse inquiète le Cercle. Plus encore lorsque des hurlements et grognements d'un loup se font entendre depuis le marais. Anelaïce sera rentrée le lendemain, seine et sauve quoiqu'accompagnée d'une Althaëa nauséeuse.
Sensible à la magie, Gaea sent une sorte d'énergie évanescente, un peu sauvage, provenant du marais. Curieusement, ses autres camarades sensibles à la magie n'ont rien remarquer jusqu'à ce qu'elle leur en parle... Et heureusement que la nibenaise partage son ressenti car elle supposait que c'était la conséquence de sa fatigue du fait d'un sommeil de plus en plus court.
Ainsi donc Mère Anelaïce, Shaehia, Gaea, Llevana et Hildeborg partent immédiatement explorer le marais pour savoir ce qu'il en est.
S'enfonçant dans le marais, non sans peur d'éveiller la brume et les esprits en colère, le Cercle ressent un lien magique et s'y dirige.
A mesure que le groupe approche, quelque chose tapie dans l'ombre semble les observer et se tient prêt à leur sauter dessus. Anelaïce semble très aux aguets, ce qui est assez inhabituelle chez elle.
Les Larmes trouvent une surface brûlée au sol, l'énergie magique en émane. Mais c'est surtout un corps démembré ou plutôt à moitié dévoré vraisemblablement par des loups et dont le cœur a été "prélevé" qui suscite l'attention du groupe.
Shaehia tente d'identifier le corps du bosmer sans succès. Anelaïce l'identifie comme appartenant à un clan mineur mais ne comprend pas ce qu'il pouvait faire dans le domaine du clan Ombrenuit pourtant abandonné. D'autant que celui-ci semblait s'y diriger.
Alors que les Larmes pensent avoir à faire à un sorcier fou, la prêtresse altmer exprime une curieuse analyse : persuadée que ce bosmer "était un cervidé".
Anelaïce confie qu'elle a chassé un cervidé sous sa forme de louve et lui a ôté le cœur pour s'en servir d'ancre pour un rituel, ce qui remonte à deux nuits en arrière.
Ces paroles suscitent des interrogations chez Shaehia, Llevana et Gaea. Elles sont persuadées que ce bosmer a été dévorer par Anelaïce bien que la prêtresse est ferme et sur la défensive.
La nibenaise s'inquiète de savoir si la sorcière a perdu le contrôle, si elle a cédé à ses pulsations ?
Au final, seule Hildeborg prend sa défense en l'innocentant.
Quant à la magie qui a brûlé le sol à quelques pas du corps, son auteur ne semble pas être Anelaïce.
Le Cercle n'est pas au bout de ses peines. Quelques jours plus tard, Anelaïce ressent une "nouvelle menace" mais s'agace dès que Llevana prétend qu'Im-Shay a probablement levé une armée d'argoniens. Nul ne sait si la dunmer est sérieuse ou si elle plaisante.
Alors qu'Anelaïce s'apprête à sortir du sanctuaire, les apprenties et Gaea ont une vision d'une étrange ombre menaçante s'attaquant à la prêtresse.
L'altmer appose sa main contre la porte pour sonder les environs avec sa sensibilité magique. Son aura lumineuse s'assombrit rapidement.
Gaea incite Shaehia, assez proche d'Anelaïce, pour lui retirer la main de la porte. Mais l'apprentie rougegarde préfère incanter une barrière protectrice, aidée de Llevana qui lui prête de sa magie.
La nibenaise prend alors le risque d'approcher de la prêtresse, empoignant fermement l'avant-bras de l'altmer pour l'éloigner de la porte.
S'en suit une explosion magique envoyant valser la barrière de protection et les deux apprenties.
L'assaut de cette nouvelle menace en reste là. Anelaïce est sauve pour le moment.




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