jeudi 17 février 2022

[Larmes] La lettre de Cyrodiil

Le calme est enfin revenu et les Larmes savourent leur victoire malgré la mort de Sidonnie... Du moins, ça dépend du point de vu de chacun. Quant au calice, il est mis en sécurité et c'est tout ce qui compte.
Mais du côté de Uazu le moral est bien bas et semble d'un calme assez inhabituel. Isolée du groupe, la crevassaise est souvent vue assise contre un mur, le regard abasourdi. 
La sauvageonne ne se remet pas de sa lâcheté et pense être responsable de la mort de Sidonnie. Elle ne comprend pas non plus les divergences d'idées dans la compagnie. Se considérant faible, Uazu se fait violence et chasse des proies imposantes. De quoi bien remplir la réserve d'autant qu'elle projette de partir un temps pour la Crevasse afin de méditer sur elle mais aussi chercher une réponse à des interrogations.


Le cœur lourd, Uazu annonce son départ à Braynas ainsi qu'à l'ancien capitaine Freyard désormais membre à part entière de la compagnie avec un sentiment de redevabilité. La crevassaise aurait aimé dire aurevoir à Anelaïce, Shaehia et Victoire mais elles sont absentes. Elle promet de revenir le plus vite possible, espérant que Kaïa sera de retour d'ici là pour qu'elle puisse lui remettre son cadeau, menaçant autrement d'aller la chercher directement sur Bravil.
En chemin pour la Crevasse, Uazu est interpellée par une silhouette semblant être la sorcière crevassaise... Mais la voix ne correspond pas et Anelaïce se révèle derrière le masque à sa grande surprise. L'altmer invite la crevassaise à plonger dans ses bras, lui demandant ce qu'elle fait et pourquoi elle est au bord des larmes. Uazu est très heureuse de revoir Anny avant son départ, lui demandant par ailleurs si la prêtresse et ses deux disciples sont en pleine partie costumée. En réalité, seule Anelaïce est ici et ne fait qu'un avec le Vert. 
Lui souhaitant bonne route, la prêtresse altmer ne manquera pas de dire qu'elle a vu l'étoile de Uazu briller dans les cieux. Une très belle étoile.
Avec un bien meilleur moral, la crevassaise reprend la route. En effet, Anelaïce lui a partagé un secret : Sidonnie est en vie et est à l'abris... A l'abris des Larmes animées par la soiffe de sang.


Du côté du quartier général des Larmes de Stendarr, sieur Vidron et sieur Freyard reçoivent la visite d'un coursier se présentant avec une lettre urgente. Lettre livrée avec un mois de retard, le coursier annonce qu'il est passé à trois reprises le mois dernier sans voir quiconque en ces lieux. Avant de partir, le coursier laisse entendre qu'il détient des lettres vieux de six mois et qu'il hésite à les brûler. 
Alors qu'il prend connaissance du contenu de la lettre, sieur Vidron reçoit une nouvelle visite d'un nordique cette fois-ci. D'abord l'air menaçant, affirmant qu'il a un contrat mettant à prix toute les têtes des Larmes, l'homme en armure éclate de rire et annonce que c'est une blague. Genre de blague qu'il avait l'habitude de faire du temps où il était garde dans le Bordeciel occidental jusqu'à ce qu'il se fasse virer pour ce même motif.


Le nordique se présente comme étant Briof, ancien garde dans le royaume du Bordeciel occidental. Invité à rejoindre la table, il déguste une tarte tout juste préparée par sieur Vidron. Lentement, succinctement et accompagnée de sa voix grave, le nordique semble aimer la tarte et précise son adoration pour les tartes au guarana.
Le monopole accordé à la nourriture, et plus précisément les tartes, qui occupe l'esprit du nordique inquiète quelque peu sieur Freyard. D'autant que la compagnie devra bientôt reprendre la route.


Depuis quelques temps, une ombre furtive se fait visible aux alentours du quartier général des Larmes. Ombre que constatera sieur Freyard durant la conversation depuis une fenêtre. Accompagnant le bréton ainsi qu'Isadora et sieur Vidron, le nordique part enquêter sur cette ombre. Un morceau de tarte piégé servira même d'appât.
Face à l'absurdité de la scène, le dunmer se retire pour la paperasse. Du côté des trois Larmes, on se félicite de la capture : une dunmer qui cherche à rejoindre la compagnie mais qui voulait avant cela voir leur fonctionnement en les espionnant. Ce qui n'est pas du goût de l'ancien capitaine de la garde d'Haltevoie.


Anelaïce enfin de retour, sieur Vidron évoque la lettre de Kaïa à l'ensemble des Larmes présentes dans le quartier général. Un autre nouveau venu, un orsimer disciple du Vert, se tient aussi dans le hall de la compagnie.
La nibenaise apprend que la tombe de sa sœur a été profaner et qu'elle compte bien mettre la main sur les coupables, ce qui étend son séjour sur Bravil. Soupçonnant une secte d'être derrière cette histoire. En sachant ce qu'est Kaïa, sieur Vidron soupçonne des nécromanciens. Encouragée par Lycoris à faire appel aux Larmes, Kaïa n'attend pas de réponses de leur part mais leur communique tout de même un trajet et une auberge.

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